Insomnie depuis environ 3 mois

très encourageant aussi votre témoignage! Nous nous suivons de près je crois!
Ici c'est l'insomnie qui m'aura mise au sport de façon un peu plus régulière et comme vous ma philosophie est que l'on peut toujours ( ou presque) tirer du positif de situations à priori négatives...

Bonnes vacances Michelle, avec tous les ingrédients pour l'amélioration de votre sommeil: un tiers de stilnox (ça fond, ça fond...), des activités physiques plus importantes, une confiance de plus en plus solide, une excellente restructuration des pensées concernant le sommeil...
Peut être allez vous "oublier" un peu votre sommeil, mais si cela se présente donnez nous de vos nouvelles!

Bonjour, je viens sur ce forum car j'aimerai vous exposer mon problème. Voila il y à un peu plus de 4 ans j'étais étudiant en 3en année de médecine, avec tout ce que ça suppose, l'ambiance carabine, les stages hospitalier, les examens. Il se trouve qu' après une année où j'ai passé beaucoup de temps à faire des soirées, je me suis retrouvé avec 6 rattrapages à la fin de l'année, avec en prime un stage à temps complet en rhumatologie. J ai du mettre les bouchées doubles pour préparer au mieux ces rattrapages, avec des longues soirées de révisions, des nuits courtes car stage en même temps, j ai fini complètement épuisé, et c est là que j'ai commencé à faire des insomnies. Je suis parti en vacances avec des amis cette même année et pendant qu'ils passaient leur temps à fêter la fin des exams, j étais dans un lit à essayer de dormir sans y parvenir, à bout de force. Puis ma 4em année d'études est arrivée, ayant réussi à valider malgré tout mes 6 rattrapages (mais à quel prix!) et les stages ont redémarrer ainsi que mes insomnies. Je m endormai aux alentours de 4h et me reveillai exténué à 7h pour allé en stage , bien que mon besoin de dormir étais très présent. J ai alors décidé d'allé voir mon médecin généraliste qui à refusé de me prescrire des somnifères, me jugeant trop jeune, j'avais 21 ans à l époque. Mon état physique et psychique c est alors lentement dégradé ne parvenant toujours pas à faire des nuits quantitativement suffisantes pour récupérer, s'ajoutant à cela l'angoisse de ne plus pouvoir dormir. J ai continué ainsi jusqu'à la fin de mon stage (d une durée de 3mois), voyant de moins en moins mes amis, car refusant toutes soirées ou proposition de ce genre, je me sentais clairement plus en état. Puis le stage suivant est arrivé et voyant que la situation ne s'ameliorai pas j au décidé de me mettre en arrêt de travail, mais malheureusement c était déjà trop tard...je suis alors allez voir un médecin psychiatre qui m a prescrit des somnifères, mais le problème c est que malgré le fait que je m endorme à des heures plus normales et que je redorme environ 7-8h, j étais toujours aussi fatigué le matin, toujours aussi faible, comme si mon sommeil n étais plus récupérateur. J ai donc du interrompre mes études, pour me concentrer pleinement sur ma santé. C est ainsi que je me suis retrouvé hospitalisé en milieu psychiatrique pour étayer ce problème de santé/sommeil. On m a diagnostiqué alors une pathologie type psychiatrique (psychose/schizophrénie simple) à laquelle je n'ai jamais cru. J ai malgré tout accepté les traitements neuroleptiques proposés sans que ceux ci n est d effets bénéfiques sur moi, puis suis allé dans d autres institutions psychiatriques en essayant divers traitement (xeroquel, risperdal, abilify, ziprexa, clozapine) pendant des périodes assez longues sans que ceux-ci n'ai le moindre effet sur moi, me sentant toujours aussi fatigué, sans énergie, à des années lumières de mon état normal...Depuis du temps est passé, je n'ai tjs pas repris d activité professionnel ou d études, ne me sentant toujours pas à 100% de mes capacités, j'ai des sensations étranges dans le corps et dans la tête, plus d énergie, plus de force, je passe l essentiel de mon temps à regarder la télé, je sors de temps en temps avec des amis, mais en ayant tjs ce problème de santé qui m empêche de me libérer pleinement et de profiter à fond. Mon sommeil ne c est toujours pas réguler comme avant, je me me prends plus la tête avec ça heureusement, mais je peux m endormir parfois aux alentours de minuit, comme parfois aux alentours de 4h, voire faire une nuit blanche, sans qu'il y ai de conséquences particulieres le lendemain, ni plus fatigué, ni moins fatigués, comme si j étais "vacciné" au manque de sommeil. Je vois actuellement un neuropsychiatre qui m à administrer plusieurs traitements: de l'anafranil tout d'abord, sans efficacité, puis de l'haldol/deroxat sans résultats non plus; je prends actuellement du nardil et du piracetam depuis une dizaine de jours, j espère que ce traitement sera efficace. Mais une question majeure me reste à l esprit: quelles conséquences les insomnies à répétition ont pu avoir sur mon organisme? Qu'est ce que ça à pu dérégler dans mon cerveau, pour engendré cet état de fatigué permanente, de manque d énergie et toutes ces sensations anormales que je ressens dans mon corps? Et comment remédier à cela? Si vous avez des pistes pour m éclairer, j en serai ravi. Merci.

Il est difficile de déterminer avec précision les causes et surtout les mécanismes qui sont impliqués dans une difficulté qui est sans doute multifactorielle. Néanmoins, quelles que soient les raisons de votre situation actuelle, vous gagnerez à garder un rythme très régulier. La régularité de vos activités et de vos horaires va en effet favoriser la bonne synchronisation de votre horloge biologique, qui régit nos différents rythmes, et ainsi optimiser le fonctionnement de chacun de ces rythmes.
Vous retrouvez ainsi les mêmes conseils que ceux que l'on donne pour améliorer le sommeil: se lever à heure très régulière tous les jours même après un coucher tardif, s'exposer à la lumière de préférence le matin et systématiser la pratique quotidienne d'une activité physique, autant d'éléments qui favorisent la bonne synchronisation de votre horloge biologique.

Bonjour,
Les vacances sont terminées. Bonne nouvelle, pendant ces vacances, j'ai retrouvé le bonheur de faire des nuits réparatrices avec un lever certes matinal mais j'ai toujours été matinale. Des nuits d'environ 6h/6h30 voire 7 heures , tout en diminuant le zolpidem. Je suis à 1/4 maintenant. Je ne prends quasiment plus de Stresam, juste des gellules aux plantes et du L-Tryptophane. Cette nuit , j'ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil. Etait ce la chaleur ? Le fait de reprendre le rythme du boulot? De passer plus de temps devant un écran? Je ne ruminais pas , je n'angoissais pas mais je n'arrivais juste pas à m'endormir. Je me suis donc installée dans mon salon pour écouter de la musique relaxante et j'ai fini par m'endormir vers 1h du matin je pense . En fait je me suis endormie quand j'ai arrêté d'attendre que la musique m' endorme et que je me suis contentée de l'écouter. Je pense avoir dormi entre 5h et 5h30 avec plusieurs réveils mais le positif c'est que je considère cette nuit comme anecdotique. Je ne me sens pas fatiguée. Je ne ressens pas cette sensation désagréable d'être dans le brouillard . Et enfin , je ne me vis plus comme une insomniaque. Les expériences que j'ai pu lire dans le forum mettaient en évidence le fait que c'est en relativisant ses insomnies qu'on a le plus de chance de retrouver un sommeil satisfaisant et je le confirme. Mon sommeil est bien meilleur depuis que je ne me prends plus la tête avec.
Belle journée.

Bravo Michelle! et merci de nous tenir au courant de cette très belle progression!
Vous expliquez très bien comment le fait de désamorcer le cercle vicieux de "l'anxiété de ne pas dormir" améliore le sommeil:
"En fait je me suis endormie quand j'ai arrêté d'attendre que la musique m' endorme et que je me suis contentée de l'écouter"
C'est exactement cela: la consigne préconisant de faire autre chose quand on ne dort pas (plutôt que de tourner en rond en s'exaspérant) ne marche évidemment que si cela permet de ne plus penser du tout à son sommeil. Vous faites parfaitement la différence entre une activité de vraie détente et une fausse stratégie.
Bravo aussi pour ce stilnox qui finit par fondre, tout doucement.
Il reste que c'est votre changement de façon de penser votre sommeil qui sera le plus efficace bien évidemment!
Bonne continuation!

Bonjour ,
Me revoilà après presque 2 mois sans message , toujours avec mon petit quart de Zolpidem. Je dors environ 6 heures par nuit , ce qui me convient.
Me sentant prête à passer à la vitesse supérieure , j'ai décidé sur les conseils de mon généraliste de ne pas prendre le cachet un soir sur trois.
Le premier soir était la veille d'un week end. Je me suis couchée tranquillement , me suis endormie dans un délai raisonnable et même si mon sommeil a été léger avec plusieurs réveils , je n'ai pas ressenti de somnolence dans la journée. Ca m'a reboostée . J'étais sûre que la prochaine nuit sans cachet se passerait sans problème.
Pourtant , hier, l'idée que ce serait un soir sans cachet m'a parasitée à plusieurs reprises dans la journée et je me suis couchée avec un peu d'appréhension. Et hélas , je n'ai quasiment pas dormi. Je me suis endormie vers 4 h du matin et réveillée à 6h30 . Impossible de débrancher mon mental. J'ai écouté de la musique , j'ai écrit, j'ai relu ce que j'avais écrit il y a un an et demi quand mes insomnies ont commencées ( ce qui m'a permis de me rendre compte de l'évolution de mon état d'esprit vis à vis de ce problème), j'ai médité mais je n'ai pas dormi . C'est comme si mon cerveau me disait " tu m'as eu une fois mais pas deux , pas de cachet , pas de dodo".
Pour autant , je ne sens pas trop mal moralement. Même si je ressens un manque de sommeil, je n'appréhende pas la journée qui vient. Je me sens plus détachée même si je n'ai pas totalement lâché prise. Je sens que je suis toujours en attente alors que je sais que c'est justement cette attente qui est génératrice de stress. Mais ça viendra , j'en suis sûre. Il faut que tout cela murisse.
J'en arrive à me dire que si je n'avais pas eu ces insomnies , je ne serais pas mise ai Qi Kong , au chant , je n'aurai pas découvert l'hypnose et la méditation , je n'aurai pas démarré cette psychothérapie qui me fait tant de bien et bien d'autres choses encore...
Dans deux jours , je recommencerai. On verra bien. Et au pire , je me dis que dormir 6 h avec 1/4 de Zolpidem et mal dormir une nuit sur 3, ce n'est pas bien grave. D'autres personnes ont réussies à sortir d'addictions bien plus graves, il n'y a pas de raison que je n'y arrive pas.
Belle journée




Belle journée

Votre nouvelle façon de penser votre sommeil et de voir les choses signe la bonne évolution de votre sommeil et augure bien de la réussite de votre sevrage!
C'est vrai que c'est un peu paradoxal: les mauvaises nuits s'amenuisent d'autant mieux qu'on n'y accorde pas d'importance (ou que l'on fait semblant de ne pas y accorder d'importance...) Or évidemment, on y accorde d'autant moins d'importance qu'elles ne sont pas fréquentes...
C'est pourquoi l'idée d'une nuit sur 3 est excellente, car comme vous le soulignez on supporte beaucoup mieux l'idée de ne pas dormir quand on sait que la nuit suivante sera facile! Et pourtant, il est probable qu'après la mauvaise nuit que vous venez d'expérimenter, la pression de sommeil est telle qu'elle suffirait à vous endormir sans stilnox ce soir!
Dans tous les cas, en plus d'un temps de décompression avant le coucher, soignez la détente [u]dans la journée[/u], c'est elle qui permettra à vos systèmes d'éveil de se fermer le soir venu pour laisser place au sommeil.
Merci de ce témoignage!

Bonjour,

Hier soir je n'ai pas pris le 1/4 de Zolpidem et ma nuit ne s'est pas trop mal passée, en tout cas mieux que la précédente sans cachet. Je me suis endormie relativement rapidement vers minuit et j'ai dormi jusqu'à 2h30 environ. Je me résignais à ce que ma nuit soit terminée mais j'ai somnolé jusqu'à 4 h et puis , je me suis rendormie jusqu'à 6 heures environ. Ce n'est pas le Pérou mais cela me satisfait car je me suis couchée sans appréhension particulière en me disant que si je ne dormais pas , cela n'était pas grave. Dans la journée , je me suis obligée à ne pas penser à la nuit qui arrivait en me répétant chaque fois que mes pensées revenaient sur le sujet " J'en ai rien à f... de ce problème de sommeil". Je vais continuer à ne pas prendre le cachet 1 soir sur 3 pendant quelques temps et si mes nuits s'améliorent , je passerai à 1 soir sur 2. Je vais bien finir par y arriver quand même.... Par contre , j'ai remarqué que les nuits sans cachet , je me souviens davantage de mes rêves. Je ne sais pas si cela a un rapport avec le Zolpidem. J'imagine que oui.
Bon week end.

Votre nouvelle façon de penser votre sommeil est excellente ...et manifestement efficace!
Les hypnotiques, même très ciblés comme peut l'être le Zolpidem, vont nécessairement modifier peu ou prou l'architecture de notre sommeil: il est donc assez logique (et tout à fait rassurant!) que votre sommeil redevienne plus classique en l'absence de traitement! Cela signe également une meilleure qualité et donc une meilleure efficacité de votre sommeil... Peut être moins long mais probablement plus restaurateur!

Bonjour ,

Allez , hier soir c'était sans cachet pour la 3ème fois.
Bilan mitigé. Coucher vers 23h30, je ne me suis vraiment endormie je pense que vers 3 heures du matin. Mais de 23h30 à 3h , j'ai somnolé , rêvassé, entre deux eaux , pas endormie mais pas vraiment éveillée, dans un état de semi conscience , sans énervement , sans angoisse mais sans endormissement réel. C'est vraiment bizarre. Je ne dors pas mais pour autant je ne compte pas les heures comme dans une vraie nuit blanche et je n'ai pas envie de me relever pour faire autre chose. Par contre , par rapport à la 1ère nuit sans cachet où je ne m'étais endormie que vers 4h , j'ai gagné un peu de temps et je reconnais que mes quelques heures de sommeil sont vraiment réparatrices. Bah , je ne cherche plus à comprendre. Au moins , mon appréhension de ne pas dormir s'est presque envolée, c'est déjà ça.
Bonne journée

Félicitations pour ces beaux progrès mais surtout pour cette excellente restructuration de vos pensées!
Gardez des horaires stricts tant que dure votre période de sevrage, cela vous aidera à la fois à maintenir une bonne pression de sommeil (temps au lit pas trop important), et une bonne rythmicité de votre alternance veille sommeil (heure de lever très régulière...)
N'oubliez pas non plus les recommandations dans la journée: exposition à la lumière, activité physique, temps de détente tout au long de la journée pour ne pas laisser la tension croître de façon exponentielle, et enfin temps de détente le soir pour bien marquer la transition entre la journée et la nuit, tout en évitant les écrans.
Bonne continuation!

Bonjour,
J'en suis à ma 5ème nuit/3 sans cachet et toujours pas d'évolution. Je me couche toujours à la même heure ( env 23h) et je ne m'endors pas avant 3h du matin, quand je suis vraiment trop fatiguée. Ce matin , j'étais vraiment découragée. Je me suis levée en me disant que tout ce que je fais ne sert à rien puisqu'il me parait évident que si je ne prends pas le 1/4 de Zolpidem, je ne parviens pas à m'endormir. Puis je me suis raisonnée en me disant que si toutes mes actions ne servent pas à m'aider à dormir , elles me permettent déjà de me sentir mieux dans ma tête. Mais c'est dur. Quand arriverai-je à dormir sans cachet?

Bonjour,

Ayant aussi vécu de nombreuses nuits d'insomnie, je sais que c'est difficile pour le moral d’enchaîner les nuits d'insomnie.
Ce que j'ai remarqué, c'est que l'on s'endort si la pression sur le sommeil est plus forte que le niveau de stress. C'est une sorte de balance.
Quand on se couche et que l'on ne s'endort pas, en fait :
- on fait augmenter son niveau de stress en attendant un sommeil qui ne vient pas,
- la pression sur le sommeil n'augmente pas (je me demande même si le fait de rester allonger ne la fait pas diminuer un peu).
Au bilan, au bout d'une heure, on a encore moins de chance de dormir qu'au couché car la balance penche encore plus du mauvais coté !

Du coup, si vous ne vous endormez pas avant 3H, cela vaut le coup de retarder franchement votre heure de coucher (par exemple 2H au lieu de 23H): tant que vous n'êtes pas couché, le niveau de stress n'augmente pas (on ne dort pas parce que l'on n'y arrive pas, mais parce qu'on l'a décidé ce qui est un peu plus facile à vivre), et la pression sur le sommeil augmente. Le tout est de trouver la bonne heure de couché
Bien sûr, c'est plus facile à dire qu'à faire, et quand on est épuisé, on a envie de se coucher, même si on n'a pas sommeil.

Je vous souhaite bon courage !

Merci à DD31 dont les remarques et les préconisations sont parfaitement exactes et pertinentes!
Il faut en effet vous relever quand le sommeil ne vient pas, ou encore mieux, retarder votre coucher afin d'augmenter la pression de sommeil.
Celle-ci s'accumule dans la journée, et il faut la préserver la plus possible pour qu'elle "force" en quelque sorte les différents freins (comme l'appréhension de ne pas dormir, ou toute montée de stress...) qui empêchent votre endormissement. Si on s'assoupit un peu sur son canapé, ou si on est au lit sans dormir (vous avez raison DD31), cela "gâche" la pression de sommeil.

DD31 a aussi raison de dire que ce n'est pas facile à mettre en œuvre. D'abord parce qu'on est fatigué, et ce n'est pas le moindre!), mais aussi parce que rester levé va à l'encontre de ce qu'on pense spontanément être bon pour soi en tant qu'insomniaque.  

Bravo aussi à vous Michelle, de savoir relativiser malgré la déconvenue. Tout ne s'améliore pas d'un coup... Vous avez manifestement amélioré la qualité de votre sommeil, il vous faut maintenant trouver le meilleur équilibre heure de coucher/pression de sommeil pour que vos journées se passent à peu près correctement, ...et du coup que votre mise au lit corresponde au moment où votre organisme est prêt à s'endormir...

Mon dernier message date du 22/09 . Il s'est passé pas mal de choses depuis. En octobre , j'ai profité d'une période de vacances pour ne prendre le Zolpidem qu'1 soir sur 2 ,au lieu d'un soir sur 3. Donc à ce jour , je prens 1/4 de Zolpidem 1 soir sur 2 , ce qui n'est vraiment pas grand chose. Et je prends de la mélatonine , les soirs sans cachets. Et ça va. Je m'endors relativement rapidement et même si je sens que les soirs sans Zolpidem , mon sommeil est plus léger et mes réveils plus fréquents, je passe des nuits à peu près correctes ( env 5h30/6 h de sommeil en semaine et un peu plus le week end ). Mon psy me dit de prendre mon temps pour arrêter tout à fait , vu que je prends une dose très minime de somnifère. En décembre , je serai en congé pour faire une cure. Je compte bien arrêter . Je pense que je serai prête à stopper le somnifère quand j'arriverai à aller me coucher sans penser à mon sommeil. J'y arrive petit à petit même si j'ai encore un peu d'appréhension au moment d'aller au lit.
Bonne journée

Félicitations! Vous êtes presque arrivé au bout du chemin. Je suis tout à fait d'accord avec votre psy: allez doucement afin de bien y arriver et le fait que vous partez en cure me semble le moment propice pour arrêter le dernier petit bout de votre somnifère. Vous parlez de l’appréhension au moment de se coucher: il s'agit bien de l'appréhension de ne pas trouver le sommeil? Et si vous faites quelques exercices de relaxation avant de se coucher? Avez vous une activité physique pendant la journée? L'exercice physique est une anxiolytique naturelle... Bon courage et tenez-nous au courant