enfant 21 mois se réveille et crie la nuit

Bonjour,
Ma fille de 21 mois partage sa chambre avec sa soeur de 6 ans.
Elle ne s'endort pas seule (on s'allonge à côté d'elle, sur notre lit et on part quand elle dort, puis on la met dans son lit plus tard). Même chose pour la sieste, c'est même encore plus compliqué puisqu'elle est moins fatiguée, donc ces derniers temps on la sort en poussette pour qu'elle s'endorme.
Plusieurs fois par nuit, elle se réveille en criant et on va la voir rapidement pour qu'elle ne réveille pas sa soeur et ne dérange pas trop les voisins. Elle pleure jusqu'à ce qu'on lui donne un biberon, là, elle accepte de se coucher mais pas dans son lit (elle pleure/hurle si on l'y remet), donc on la met dans notre lit ou sur un matelas dans le bureau. Au final elle passe assez peu de temps dans son lit et ce n'est jamais quelque chose qu'elle accepte (contrairement à il y a quelques mois). Cela dure depuis septembre, donc depuis ses 17 mois environ. Il y a des moments où on est arrivés à résister aux biberons mais en ce moment avec la fatigue, il arrive qu'elle ait 2 biberons dans la nuit (un vers 22h30-23h et un entre 2h et 4h du matin).

Je me rends compte en lisant les ressources du site qu'elle n'est pas du tout autonome pour le sommeil et que c'est ça le problème, mais je ne sais pas comment faire. Il faut absolument qu'on commence une thérapie comportementale mais nous avons régulièrement des plaintes des voisins et la laisser pleurer parait hors de question. Ils ont des enfants et nous font culpabiliser du bruit que font les notres et qui fatigue les leurs, les empêche de dormir, les réveille... On se sent bloqués dans cette situation et j'envisageais de faire appel à quelqu'un pour "faire les nuits" à notre place : moins d'affects pourrait aider?
D'un autre côté, il faudrait aussi qu'elle puisse reconnaître notre autorité et nos règles à nous.
Avec notre première fille, nous avions eu des problèmes similaires, qui se sont réglés il y a à peine un an (donc des années de manque de sommeil très dures pour nous!). On voudrait bien éviter que ça se reproduise! On a l'impression d'une sorte de chantage au hurlement : l'une comme l'autre savent que si elles crient, on fera tout pour qu'elles arrêtent et ce n'est pas sain mais elles peuvent hurler très fort et très longtemps, dans un immeuble comme le notre c'est difficile...
Qu'est-ce qu'il faudrait qu'on fasse? Merci de votre aide!

Bonjour,
Partir en vacances au milieu de nulle part et mettre en place une bonne thérapie comportementale
Si ce n'est pas prévu dans l'immédiat une mesure intermédiaire : mettre un matelas au pied de votre lit, que votre fille s'approprie au moins un endroit stable pour dormir, qui n'est pas le lit conjugal. Ensuite commencer par être intransigeant sur l'alimentation nocturne. Si votre fille comprend qu'il n 'y a aucune faille dans votre détermination ce point peut se régler en 3 nuits maximum.
Pour l'apprentissage de l'autonomie au sommeil : des routines quotidiennes et régulières qui vont faire diminuer progressivement la pression d'éveil ( des activités du soir de moins en moins stimulantes), un temps passé avec les parents exclusivement consacré à l'enfant qui permet de diminuer la frustration de la séparation du coucher, un rituel du coucher immuable, limité dans le temps, qui marque clairement la séparation entre le monde de l'éveil et le monde de la nuit.

"Partir en vacances au milieu de nulle part et mettre en place une bonne thérapie comportementale" et vous rajoutez un smiley qui rit.
Savez-vous au moins ce que vivent au quotidien les parents qui ont un enfant qui pleure la nuit, qui réclame un biberon, de dormir avec papa/maman ou qui ne veut pas dormir du tout ?
Connaissez-vous [b]personnellement[/b] la fatigue, les craintes, les doutes, cher docteur Morphée, pour répondre de cette façon, si détachée et si légère.
Savez-vous ce que sait d'entendre son enfant pleurer pendant des heures la nuit ? Connaissez-vous la culpabilité ? Les reproches des voisins ?
On nous raconte partout, qu'il est important de faire confiance à son enfant, de suivres ses besoins, concernant son alimentation, son sommeil, l'apprentissage de la propreté... Et de gros balourds dans votre genre ne font que répéter le contraire, car au final c'est le seul conseil qu'on trouve dans votre forum "laissez le/la pleurer".
Vous devriez avoir honte de votre remarque.

Bonjour,
On a finalement discuté avec le voisin et commencé une thérapie comportementale. Les premières nuits ont été plus faciles que je pensais (au bout du déroulé prévu sur le site, elle a arrêté de pleurer). ça nous a beaucoup aidé d'avoir un tableau dans la tête, c'est symbolique mais c'est déjà autre chose que juste "laisser pleurer", ça donne un cadre et on sait que c'est pour notre bien à tous. La seconde nuit elle ne s'est pas réveillée, simplement réveillée tôt le matin (6h).
En revanche les quatre nuits qui ont suivi ont été un vrai cauchemar, une fois le tableau "fini", après le dernier 7 min ou le dernier 10 min... Elle continuait à pleurer/hurler en criant "maman" pendant des heures. Et le week-end a été horrible aussi, avec un temps de cris équivalent au temps de sieste (45 min de cris pour 45 min de sommeil, elle était encore épuisée au réveil puisqu'elle ne dormait pas non plus la nuit). J'avoue que je me suis vraiment demandée ce qu'on était en train de faire et où ça allait nous mener. J'ai fini par la prendre dans mes bras une nuit, une fois le déroulé des "visites" terminé, soit au bout de 45 min environ. Mais là elle n'a pas réagit comme je le pensais : elle ne s'est pas calmée, elle ne voulait ni vraiment de biberon, ni vraiment dormir avec nous (j'étais prête à n'importe quoi pour qu'elle arrête de hurler et pour pouvoir dormir quelques heures); elle a continué à hurler pendant deux heures, dans mes bras.
Depuis, je me dis que ça ne sert à rien de faire marche arrière et on essaie de persévérer. La nuit dernière elle s'est beaucoup réveillée, son sommeil est léger et c'est épuisant pour nous, mais elle n'a jamais pleuré plus de 20-30 min. Et ce soir elle s'est endormie dans son lit après seulement 5 min de cris (mais on est encore loin du rituel du coucher complètement apaisé : on a mis en place quelque chose de fixe et on s'y tient, mais dans les dernières minutes elle s'accroche à nous en panique parce qu'elle ne veut pas qu'on la mette dans son lit). J'espère qu'elle va apprendre à apprécier ce moment... On a aussi décidé de n'aller la voir qu'une seule fois quand elle pleure la nuit parce qu'on avait l'impression que si on y retournait trop souvent ça l'énervait encore plus de nous voir et qu'elle se mettait à attendre (en hurlant) notre prochain passage. Je suis aussi plus à l'aise avec ça : donc quand elle se réveille la nuit, on la laisse pleurer 5 min, puis l'un de nous va la voir et lui dit qu'il faut dormir et qu'on est juste à côté.
Je pense que toute notre relation avec elle lui montre qu'on l'aime et qu'on représente pour elle un environnement stable et rassurant, chaleureux, etc. Donc je n'ai pas peur qu'elle soit traumatisée, par contre j'ai peur qu'elle ne "cède" jamais et continue à pleurer toutes les nuits! Elle est fatiguée et elle s'accroche beaucoup à moi pendant la journée, du coup et c'est vrai que ça fait mal au coeur.
Merci en tous cas pour votre réponse, si vous avez d'autres conseils pour nous aider à persévérer, on est preneurs, c'est vraiment une expérience éprouvante!

bonjour,
Je crois que Blandine33 a compris mon propos, c'est l'essentiel. Relisez attentivement les postes de ces dernières années Migeon, cela fait bien longtemps que ce forum encourage les parents à avoir confiance en eux, à s'écouter plutôt que d'appliquer des recettes toutes faites, à adapter leur comportement à leurs convictions.

Bonjour,
Cela fait donc 13 nuits que nous avons commencé la thérapie comportementale, et nous ne savons plus comment faire puisque la situation nous semble aujourd'hui vraiment pire qu'au début, et on ne veut ni faire marche arrière, ni continuer comme ça!
Au bout d'une semaine, la situation n'était pas réglée et notre sommeil était loin d'être bon mais on pensait qu'il y avait une amélioration. Elle s'endormait seule dans son lit après seulement quelques minutes de cris, puis se réveillait, souvent entre minuit et une heure, criait 5 min, parfois 10 min mais jamais plus, et se rendormait jusqu'à environ 6h du matin. Là, pour bien séparer le repas du sommeil, on lui donnait un biberon et on jouait avec elle. C'était donc épuisant, avant elle pouvait se rendormir après un biberon jusqu'à 8h sans problème, mais on faisait l'effort en se disant que ça allait payer. Malheureusement, elle a commencé à se réveiller de plus en plus tôt : donc elle se réveillait d'abord à minuit pour 5 min, puis à 5h et pleurait jusqu'à 6h... et là on lui donnait le biberon.
Ce week-end, elle s'est réveillée à 3h (ce qui n'est pas mal : elle a dormi de 8h à 3h dans son lit, sans pleurer), à 3h elle a pleuré 5-10 min et puis s'est rendormie jusqu'à 4h, et là elle s'est mise à pleurer pendant une heure (des pleurs intermittents, qui nous ont rappelé ses pleurs de "pleine lune" - c'était la pleine lune - donc un sommeil très léger entrecoupé de pleurs)... On a un peu paniqué, ça ne s'arrêtait pas et on pensait que ça allait durer jusqu'à ce qu'on lui donne un biberon à 6h, et n'ayant pas nous-même redormi depuis 3h, c'était rude. J'y suis finalement allée, je l'ai prise et emmenée sur un lit d'appoint dans le bureau, et là on s'est rendormies ensemble jusqu'à 7h30-8h. Le lendemain, elle a toujours très peu pleuré au coucher (5 min max) et puis s'est réveillée à 4h parce que sa soeur avait fait un cauchemar et nous a appelé. Elle a commencé à pleurer très fort jusque vers 5h. A 5h, j'ai fait comme la veille, je suis allée dans le bureau pour dormir avec elle et elle s'est rendormie jusqu'à 7h30. Je ne pouvais pas, à ce stade et à cause du travail que j'avais à faire hier, la laisser pleurer plus d'une heure.
Hier soir, pour la première fois depuis au moins une semaine, elle a pleuré une bonne vingtaine de minutes avant de s'endormir. Elle s'est réveillée à minuit et a appelé et pleuré fort pendant deux heures... On y est allés deux fois pour la rassurer, au début, et puis on a attendu. Rendormie à 2h, elle s'est réveillée à 6h pile pour le biberon. Ce matin on est tous complètement épuisée, elle comme nous. 2 heures de pleurs sont durs à supporter mais c'est faisable quand c'est la première semaine de thérapie comportementale. Au bout de la 13e nuit, c'est complètement déprimant, décourageant. On essaie de garder le cap mais ça devient très difficile, surtout quand on a l'impression d'avoir régressé. On a peut-être fait une erreur stratégique en l'emmenant dormir dans le bureau, mais on essaie aussi de continuer à avoir une vie et surtout, au bout de 10 jours de "laisser pleurer", comme elle se calmait toute seule la plupart du temps, les deux fois où elle ne s'est pas calmée toute seule j'avais l'impression que c'était légitime de la prendre dans mes bras. Il ne fallait pas le faire, mais l'alternative c'était avoir un bébé qui avait dormi à peine 8h dans la nuit (et nous, on tourne à 4 à 5h de sommeil par nuit depuis 13 nuits, c'est invivable sur le long comme sur le moyen terme!).
Bref : au secours! Est-ce qu'on doit continuer de cette façon et qu'elle finira par dormir? Est-ce qu'on doit tout revoir et juste dormir avec elle dans le bureau jusqu'à nouvel ordre? J'ai l'impression que la situation et notre sommeil à tous était tellement meilleur (même si loin d'être idéal) avant de nous lancer dans la thérapie comportementale! Elle se réveillait, prenait un biberon, se rendormait, 2 fois par nuits. On avait du mal à se rendormir mais au moins on n'avait pas à supporter des heures de cris.
Le côté "positif" c'est qu'il n'est aujourd'hui plus question de biberon la nuit : ça c'est acquis pour toujours je pense, on est clair et elle a compris.
Merci de votre aide, on n'est pas loin de démissionner... Mais on a peur des effets irréversibles de la démission!

Bonjour, je vais vous donner mon avis. Je suis maman de 3 enfants. Je viens sur ce forum depuis 8 ans et j'y ai toujours trouvé de bon conseil.
Nous avons notre dernier fils qui a 21 mois. Depuis fin septembre, il se reveille en moyenne 7 à 12 nuits par mois de 4h à 6h du matin.
Nous avons tous essayé. Aujourd'hui je commence à voir le bout du tunnel.

Voici ce que je vous conseille.
- vous avez un problème différent du mien c'est le biberon. Je n'ai jamais donné de biberon la nuit, jamais avant 8h du matin. Pour vous c'est différent. Car votre enfant "sait" que vous pouvez lui donner un bib dans la nuit et c'est toute la différence. Ce que je ferrai à votre place, c'est ce soir bien lui expliquer qu'il n'aura pas de biberon avant 6h ou 7h du matin c'est vous qui voyez l'heure acceptable pour vous.
Et vous vous y tenez. S'il pleure à 3h ben expliquer lui que c'est la nuit. Et vous y tenir.
- Ensuite pour l'endormissement, même problème chez nous. Depuis nous laissons la porte ouverte avec lumière + je lui donne un livre musical. Il joue un peu, puis s'endort 20 minutes après. Vous pouvez essayer.
- Nous avons de notre côté vu un ostéo + pédiatre + pédo psy + homeopathe.
Et là miracle.... l'homéopathe qui a bien pris le temps de comprendre mon fils nous a donné un traitement sur 3 mois. C'était il y a 13 jours, et miracle depuis 13 nuits = pas un seul réveil nocturne.
- enfin qques conseils que nous appliquons suite à la visite chez pedo psy; nous passons tous les soirs 10min seul avec lui dans sa chambre pour histoires/calins. J'ai aussi acheté le livre qui s'appelle "la nuit on dort" vous pouvez essayer il ne doit coûter que 5€.

Je vous souhaite du courage, appliquer tout ça n'est pas simple. Et le manque de sommeil est pour moi la pire chose à gérer vs travail et autres enfants. Ce qui est sûr c'est qu'un jour ces problèmes seront derrière vous. Accrochez vous il faut y croire.
Pour moi je suis encore vigilente, 13 nuits sans reveil c'est bien, mais j'ose à peine y croire. Donnez nous des nouvelles.

Bonjour,
C'est compliqué via un forum de prendre toute la mesure de l'enjeu. La question principale à vous poser est la suivante :
de quoi a besoin votre fille la nuit pour se sentir en sécurité et arriver à se rendormir sans biberon, et en autonomie. Si les comportements que vous avez mis en place depuis 13 jours ne portent pas leurs fruits alors il faut s'interroger : répondent ils au besoin de réassurance de votre fille pour lui permettre de partir seule explorer le monde de la nuit? seuls vous parents avez la réponse à cette question. Alors faites vous confiance pour trouver.
Par ailleurs, comme mentionné dans mon premier poste, et souligné par famillemea tout ce qui est mis en place dans la soirée, avant le coucher, va permettre d'assurer l'autonomie la nuit. Qu'en est il de ce côté là?
Il n'est pas question de "démissionner" mais plutôt de trouver la bonne attitude. La fin du biberon nocturne est une bonne chose, car il y a d'autres manières de se sécuriser à l'âge de votre puce que la prise d'un biberon. Donc même si vous n'y voyez pas très clair ce matin ( et le manque de sommeil y est pour beaucoup!) une issue favorable est possible, il faut y croire.

Merci famillemea et Morphée pour vos réponses,
Effectivement on/elle n'a pas encore trouvé ce qui l'aidait à se sentir en sécurité la nuit, et il faut qu'on continue à chercher. Peut-être une petite lampe, une peluche à bruit blanc... On va essayer d'autres choses, voir ce qui lui plait.
Elle apprécie de plus en plus le rituel du soir qu'on a mis en place, je crois, même si elle se raidit toujours vers la fin (elle adore choisir un livre et que je lui lise, et se relâche maintenant complètement dans mes bras quand je lui chante "la" chanson du soir). C'est vraiment quand je la pose dans son lit qu'elle ne supporte pas et se met à protester et crier, s'accroche à moi... Il faut qu'elle arrive à prendre du plaisir à être dans son lit! Peut-être que je devrais rester un peu à côté d'elle et lui parler pendant qu'elle s'endort? Ou laisser une petite musique?
J'imagine que quand elle sera heureuse d'être dans son lit le soir, elle ne paniquera pas à ce point quand elle se réveillera dans la nuit.
En attendant, on n'a pas décidé ce qu'on allait faire si elle se mettait à hurler longtemps au milieu de la nuit... c'est vraiment stressant et plus dur psychologiquement que ce que je pensais donc c'est précieux d'avoir ce forum.
Merci famillemea de suggérer l'homéopathie, je n'y avais pas pensé. On a tenté l'ostéo mais ça n'avait pas marché. Peut-être que si elle arrivait à se détendre physiquement, elle relâcherait un peu sa "lutte" contre le sommeil. On va aussi essayer de lui parler moins de sommeil, mais plus efficacement. Le voisin, les amis, nous, sa soeur, on lui répète qu'il faut dormir la nuit mais c'est peut-être un peu trop (et ça ne marche pas).
Merci encore, je vous tiendrais au courant...

votre petite fille est encore trop petite pour se projeter dans le futur, donc lui dire qu'il faut dormir la nuit , pendant la période d'éveil, n'est pas simple à interpréter pour elle.
Il ne s'agit pas forcément de trouver "un truc" qui la rassure. Simplement de bien "doser" votre présence et vos interventions. Vous pouvez tout à fait décider de rester à proximité le temps qu'elle s'endorme/ se réendorme, mais sans lui parler : l'idée étant d'être sécurisant, mais de bien marquer la différence entre le temps d'éveil, où on est tous ensemble, et le temps du sommeil où elle trouve sa sécurité dans son lit, toute seule. C'est sur le "toute seule" que vous allez évoluer : si c'est trop compliqué pour l'instant qu'elle soit toute seule dans sa chambre, alors vous commencez par le "toute seule dans son lit". Ce n'est qu'un exemple, pour vous montrer qu'il faut trouver la bonne distance, pour lui permettre d'acquérir un sentiment de sécurité dans son lit, reproductible lors des réveils nocturnes.

Ca me fait penser à un conseil que m'avait donné la pedo psy...
Vous pouvez mettre un matelas au sol près de son lit (pour vous) si ça fonctionne et qu'elle se rendort bien, jour après jour vous eloignez le matelas vers la sortie de sa chambre jusqu'à ce que le matelas disparaisse.
A voir si l'idée vous semble bonne.

Je précise que nous aussi Marcel a la fin de l'histoire dis "NON" et ne veux pas aller au dodo. Je lui propose donc depuis peu d'emmener un livre avec lui dans son lit. Ça fonctionne bien. Essayez tout et vous finirez bien par trouver. Et allez voir un homéopathe, un vrai. (nous aussi l'osteo n'a rien fait, et me l'a dit d'ailleurs que ça ne changerai pas sa séance). Courage et j'espère de vraies bonnes nuits très vite.

coucou Famillemea, même suggestion que la pédopsy dans mon premier message