Il n'est effectivement pas facile de se rendormir, quand on sait qu'il va falloir se relever 2 heures plus tard, et que la nuit s'arrêtera probablement à ce moment là...
L'âpreté à réussir à se rendormir, ou anxiété de performance, va empêcher l'abandon qui est justement nécessaire au sommeil: voilà un cercle vicieux qui se forme facilement!
De même, il est difficile de se forcer à ne penser à rien.
Le mieux est de lacher tout objectif et de se laisser aller au repos (à défaut du sommeil), exactement ce que vous faites quand vous profitez des siestes de votre petite fille (vous dormez ou pas mais vous vous reposez!).
Si cela n'est pas possible, il est préférable de vous lever compètement, de faire une activité calme mais bien différente du sommeil et de vous recoucher si vous sentez vraiment l'envie de dormir (ce peut être des bâillements, les yeux qui piquent, les paupières qui tombent, ...). En étant hors du lit, vous accumulez à nouveau une pression de sommeil favorable à l'endormissement.
Enfin, peut-être pourriez-vous raccourcir au maximum le temps passé au petit matin avec votre fille: si vous n'allaitez pas, son papa pourrait même prendre le relais?
En revanche, le réveil (définitif) à heure régulière que vous offre votre fils est tout à fait bénéfique pour la bonne synchronisation de vos rythmes!