Bonjour,
Cela fait 3 mois et demi que je n'ai pas posté même si je voulais donner de mes nouvelles depuis longtemps.
Depuis fin mars, j'ai retrouvé un sommeil à peu près satisfaisant malgré quelques nuits difficiles.
Et cela sans prise de médicaments de fond(AD)
oui finalement je me suis sortie de l'épisode dépressif du début d'année qui a duré jusqu'à mars avec juste l'aide extrêmement précieuse de Morphée,
D'abord qui pose la situation, m'a rassurée, soutenue et m'a aidé à me redonner confiance dans mon aptitude à dormir.
Les rares fois où j'ai retardé mon heure de lever par paresse, pour me détendre dans mon lit ou pour dormir 1 ou 2 heures de plus, j'ai entraîné une très mauvaise nuit la nuit suivante.
Le 25 mai je suis tombée enceinte (desiré) jusqu'au 15 juin où j'ai fait une fausse couche. Durant cette période, j'ai été hyperractive, hyper fatiguée m'en dormant facilement entre 23h et minuit mais me réveillant entre 4 et 5 heures, soit 4 à 5 heures de sommeil par nuit.
Normalement un début de grossesse s'accompagne d'un bon et gros sommeil, pas mon cas. Une grosse fatigue oui mais un très court sommeil et donc pas assez de sommeil.À quoi s'est dû?
les 3 semaines suivantes la FC, humeur chagrine, remise à niveau hormonale progressive, sommeil à peu près correct.
Depuis fin mars, j'ai respecté la même heure de lever, une bonne activité dans la journée mais pas de sport vu mon état physique.
Depuis une semaine, mon sommeil s'est délité, 2 nuits courtes, 2 nuits blanches, 2 nuits normales.
Vu ma très grande fragilité sur la question du sommeil, je dois me ressaisir et ne pas laisser les choses se dégrader même si chez moi ça se dégrade à très grande vitesse.
Revient la question d'une grossesse ou pas, mon ami n'en a aucun desir mais le tente parce que je lui demande.
Il a déclaré un psoriasis depuis 4/5 mois.
J'ai 45 ans, c'est bien tard pour ça surtout quand je suis la seule à le vouloir mais étant insomniaque jusqu'à mes 41 ans, j'étais inapte a désirer autre chose que dormir. Et entre 41 et 45 ans, j'ai goûté à la vie normale avec ses rythmes.
Je veux changer de métier, je sais ce que je veux faire et surtout ce que je ne veux plus faire.
Cela fait une période charnière où je dois définitivement trancher et mettre en place les aménagements suivants les choix que je vais faire.
C'est vrai que j'évoque ici des sujets extérieurs au sommeil mais chez moi la question du sommeil a tellement impacté et impacte encore ma vie que tout est lié de manière très fine et forte.
Bien à vous Morphée