Cauchemars répétitifs lors de l'endormissement

Bonjour,

Il y à un an, j'ai eu quelques épisodes de paralysie du sommeil sauf que depuis deux semaines environ j'enchaine les cauchemars lors de l'endormissement.
Au début, je pensais à la paralysie du sommeil mais j'ai des doutes.

[i]Je me prépare à dormir, je m'endors et j'ouvre les yeux toujours à la même place, même position, avec de grosses angoisses, impossible de bouger, d'ouvrir les yeux. Parfois, j'arrive à me retourner pour allumer ma lampe de chevet mais c'est très dur, ça me demande un effort énorme.
Cette nuit et celle d'avant, pareil sauf que au moment d'allumer ma lampe de chevet, je stress ma chaise arrive vers moi toute seule, je peux pas crier pourtant j'essaye, je me lève et ma porte est bloqué.[/i]

Lors de ces phases, je me répète "c'est un cauchemar" mais ça ne fonctionne pas.
Tout cela me faisait pensé à la paralysie du sommeil mais je me rend compte que je me réveille d'un coup à ma position d'endormissement très stressé alors que deux secondes avant j'étais à l'autre bout du lit.

C'est très angoissant pour moi chaque soir, j'ai du mal à me décider à dormir à cause de ses cauchemars récurrent.
Mon médecin me dit qu'il ne peut rien faire et que les cauchemars m'évitent de faire des actions lors de mon sommeil (somnambule)
J'ai des horaires difficiles avec mes études, mes stages et autres.
Je ne suis pas d'un naturel stressé et ma vie n'a pas changer dernièrement.

Avez-vous des solutions ?
Merci.

Les différentes parasomnies (comportements qui interfèrent avec le sommeil), comme celles que vous décrivez sont souvent une conjonction d'un terrain prédisposant (demandez autour de vous si vos parents étaient coutumiers notamment de somnambulisme) et de certains évènements de vie (éléments extérieurs capables d’influencer la profondeur et l’architecture du sommeil): ainsi, un stress particulier, mais également la pratique très intense d'un sport, ou la privation de sommeil, la fièvre, certains médicaments ou drogues, etc...
Un autre facteur extérieur très fréquent est l'irrégularité des horaires. En retrouvant des horaires plus réguliers (notre sommeil suit une véritable rythmicité et alterne avec notre éveil de façon programmée, grâce à notre horloge biologique), ainsi qu'une durée de sommeil raisonnable, les phénomènes vont sans doute disparaître.
Si vos stages vous amènent à adopter des horaires très difficiles, essayez de compenser avec des siestes plutôt qu'en allongeant votre durée de sommeil le matin.

Par ailleurs, avez vous également des accès de sommeil incoercibles alors même que vous n'êtes pas en retard de sommeil? Ressentez vous parfois des chutes de votre tonus musculaire, (notamment quand vous riez avec vos amis)?

Bon courage et donnez de vos nouvelles!