Bonjour à tous
Après de multiples années de soupçons sans vouloir l'admettre je viens de découvrir la triste réalité de ma maladie l'apnée d sommeil
Chambre à part avec ma compagne depuis bientôt trois ans pour ne pas devoir l'exaspérer la nuit par mes ronflements éléphantesques!! J'ai la plus merveilleuses de compagnes, mais j'ai dû m'y résoudre. Sans compter les remarques gênantes de mon gamin: "Dis t'as de nouveau ronflé comme un dingue cette nuit" et je ne compte pas les remarques des voisins l'été quand je dors les fenêtre ouvertes et j'en avais marre de coups de pompes au bureau, courir me cacher au toilettes pour un petit somme réparateur de quelques minutes plusieurs fois par jour, ou de devoir m’arrêter constament sur les autoroutes avant de me charcuter contre un mur.
Enfin, après de multiples examens; médecin, pneumologue. Le verdict est tombé "Oh sans étonnement: Apnées nocturnes sévères "
Donc le 18 juin rendez-vous pour une nuit de test et paramétrage du sommeil sous observation en milieu hospitalier et rendez-vous avec un spécialiste de la ligue pulmonaire suisse le 19 juin pour la mise au point et réglages d'une machine CPAP. Je ne sais pas encore laquelle, mais paraît-il qu'en Suisse on distribue la marque Resmed.
Depuis une semaine je me documente sur internet pour savoir comment m'y prendre et qu'est ce qui m'attend. Au départ j'étais confiant et content de peut-être résoudre mon problème de santé, mais à présent que j'ai lu tous vos article, je commence à appréhender l'utilisation du CPAP.
Est-ce si terrible de s'habituer?
J'avais testé il y deux ans un appareil d'avance mandibulaire sans succès si ce n'est des douleurs atroce le matin et impossible de manger quoi que ce soit avant une here ou deux!!! J'ai finis par le jeter, ensuite un éspèce d'appareil d'invention suisse le Velumount. Efficace parait-il, mais moi rien qu'à l'idée de devoir le mettre le soir bonjour les nausées.
Alors par pitié aidez-moi et motivez-moi au CPAP!!
A bientôt CPAPé à partir du 19 juin......
PS. J'avais perdu mon emploi mi-février pour soit-disant baisse de productivité