Insomnie depuis plusieurs semaines

Bonjour à toutes et à tous,

Sujet à de nombreuses insomnies depuis plusieurs semaines, j'ai décidé d'écumer des forums dans le but de glaner quelques informations -souvent bénéfiques.
De "nature" assez anxieuse, j'ai eu quelques soucis avec mes études -je suis âgé de 21 ans- il y a environ un mois, ce qui m'a grandement fait cogiter. Cela a ainsi eu des répercussions sur mon sommeil puisque j'ai, suite à ce problème, passé quelques mauvaises nuits.
J'en ai ainsi parlé à mon entourage, qui m'a grandement rassuré, ce qui a atténué mon stress à ce propos. Néanmoins, durant ces quelques mauvaises nuits, j'ai été amené à me questionner sur mon sommeil, ce qui a en quelque sorte déplacé la cause de l'insomnie. Je me focalisais constamment dessus, ce qui accentuait mon angoisse.

J'ai par la suite découvert le réseau Morphée et les commentaires de certain(e)s qui m'ont été d'une grande aide ! Je sens mon anxiété s'atténuer depuis une dizaine de jours (d'ailleurs, j'ai très bien dormi la semaine dernière, entre 6 et 8 heures de sommeil par nuit malgré des difficultés à m'endormir ou des réveils nocturnes), mais j'ai comme cette impression que la situation va stagner même si j'espère que cette insomnie s'en ira. J'ai toujours ces difficultés à m'endormir malgré un stress quasi inexistant. Il m'arrive dans la journée d'oublier que je suis sujet à des insomnies mais une voix vient subitement me le rappeler de la sorte : " Ah, tiens, tu as oublié!", donc cela me le fait rappeler. Ce qui est déjà une avancée incroyable vis-à-vis des semaines où j'y pensais en permanence.

J'ai mis en place des règles plus ou moins strictes : je ne bois pas d'excitants après une certaine heure (ou pas de la journée), je décompresse le soir en me concentrant sur mes lectures (les livres sont l'une de mes grandes passions), j'essaie de me lever à la même heure (certaines semaines, je tournais aux alentours de 8h30, depuis une dizaine de jours je me situe plutôt aux alentours de 10h30) et je fais du sport lorsque j'en ai l'occasion.

Pour l'instant, je n'ai jamais ressenti d'impression de fatigue ou de somnolence durant la journée, ce qui m'aide à relativiser ma situation. Le sommeil viendra quoi qu'il arrive et venir lire des commentaires positifs sur le forum m'a grandement aidé. Plus je passe de belles nuits, plus cela renforce ma confiance en mon sommeil.

Merci à vous de m'avoir lu.

Personne pour discuter ?

Bonjour,

Il n'y a pas grand monde car c'est les vacances.

Si j'ai bien compris, vous avez l'impression que la source de votre stress initial est moins présente mais que vous focalisez maintenant sur votre sommeil:

"J'ai toujours ces difficultés à m'endormir malgré un stress quasi inexistant".

Il est vrai que commencer à douter de son sommeil est un cercle vicieux. Mais sans négliger cela, je me demande si cogiter sur son sommeil n'est pas une façon de mettre sous le tapis d'autres préoccupations que l'on ne veut pas voir.(je parle d'expérience...) L'insomnie n'est qu'un signal d'alarme (sauf quand c'est vraiment lié à un trouble physiologique), et quand on coupe vraiment la source des problèmes, on dort ! Douter sur son sommeil favorise l'insomnie, mais je ne pense pas que cela suffise à entretenir l'insomnie quand il n'y a plus d'anxiété.

Voila la modeste contribution à la discussion d'un futur ex-insomniaque..

Bon courage.

Bonsoir,

Merci d'avoir pris le temps de me lire et de répondre. En effet, j'avais entièrement mis de côté les vacances.

Je pense que la cause initiale de mon stress a totalement disparu. Tout bêtement, j'ai mis un pied dans l'idée suivante : je ne vais pas réussir à dormir, ce qui est tout à fait aberrant car je dors, même lorsque je fais de courtes nuits... En dehors de ça, je vais très bien, j'ai une copine et une famille aimantes, je suis en vacances jusqu'en septembre et je profite des journées ensoleillées.. mais j'irais encore mieux si je pouvais me débarrasser de cette plaie...

J'aimerais également vous poser deux questions : auriez-vous des conseils pour avancer l'heure d'endormissement (car mon hygiène de vie avant ces troubles étaient douteuses, je m'endormais souvent très tard) ? vous parlez "d'ex-insomniaque", comment avez-vous surmonter cette épreuve ?

J'aimerais ajouter, à ma grande surprise, que je n'ai pas été fatigué une seule fois depuis le début de ces troubles, même lorsque je ne dors que deux heures. Pourtant je suis dehors toute la journée, je fais du sport ou de longues balades.. Mes capacités de concentration ne sont pas altérées non plus...
Avant cela, je dormais souvent tard (entre 3 et 5h) pour me réveiller entre 9 et 10h (le rythme du master étant assez souple). 6h de sommeil m'étaient donc grandement satisfaisantes...

J'ai pensé à l'idée de "retard de phase" et le fait que l'angoisse de ne pas dormir plus tôt naisse de là, mais je ne sais pas... même lorsque je finis par m'endormir vers 3h, je me réveille 1h30 plus tard (sans difficultés pour me rendormir toutefois). Forcément, le sommeil ne vient que lorsque l'on y pense pas du tout! Je me suis dit que je pouvais rester éveillé le plus tard possible (comme avant) pour voir si je pouvais dormir plus facilement, mais je n'ose pas.

Bien à vous.

Pour ce qui d'avancer l'heure du coucher, je ne pense pas qu'il y ait grand chose qui marche à part se lever plus tôt ! En tout cas, pour moi, quand je me force à me coucher plus tôt, souvent, cela ne marche pas : je ne m'endors pas, et le temps passé au lit avant de me relever fait baisser la pression sur le sommeil. Résultat: je m'endors encore plus tard.

J'ai vraiment expérimenté que pour dormir, il faut que ma pression sur le sommeil soit supérieure à mon stress.
J'essaye donc :
- d'augmenter la pression sur mon sommeil en me levant à heure régulière et en me couchant tard,
- de diminuer mon stress (ou mon agitation cérébrale du moment) (facile à dire !)

Les seuls cas où je me couche plus tôt, c'est quand je suis vraiment somnolent et épuisé. Je me couche alors au maximum une heure plus tôt.

Il m'a fallu du temps pour accepter maintenant que quelques heures de sommeil me suffise: 2-3 heures me permettent d'assumer la journée même si ce n'est pas très agréable, et 6 heures me suffisent maintenant.

A vous lire, j'ai l'impression que vous êtes un peu un petit dprmeur qui voudrait dormir peut être plus qu'il n'en a besoin !

Morphée vous en dira sans doute plus bientôt.

Merci DD31, on ne peut que valider vos remarques, tout à fait justes!
C'est en effet en se levant plus tôt qu'on arrive à avoir suffisamment de pression de sommmeil pour s'endormir plus tôt, et on renforce la bonne rythmicité grâce à la régularité des horaires, surtout ceux du lever...
Enfin, plus le temps consacré au sommeil (et donc passsé au lit) est important, plus le risque augmente de voir le sommeil s'effilocher. C'est au contraire en ajustant étroitement ses horaires à ses besoins de sommeil que l'on garantirt une bonne qualité de sommeil...

Bonjour,

Ainsi, après trois nuits complètes -sans réveils nocturnes-, je me suis remis à me réveiller plusieurs fois cette nuit. Je ne comprends absolument pas.

Je n'ai aucun soucis et je ne suis pas anxieux -je dois préciser que je ne suis pas anxieux à l'idée de ne pas dormir... cette une peur irrationnelle qui ne m'atteint pas...-

Cela fait un mois et demi que cela a commencé, mais je ne suis jamais fatigué, toujours opérationnel. Je trouve ma situation assez étrange.

Tant que vous êtes parfaitement bien dans la journée, c'est que votre besoin de sommeil est convenablement rempli!
On ne parle d'insomnie que s'il existe un retentissement dans la journée, que ce soit une somnolence, des difficultés d'attention, de concentration, ...
Si vous gardez une heure régulière de lever et que vous attendez bien d'avoir sommeil pour aller vous coucher, vous obtiendrez cet ajustement de votre temps de sommeil à vos réels besoins. Vous pouvez ainsi remplir un agenda de sommeil (téléchargeable sur notre site, en bas à droite de la page d'accueil) pour consigner ces différents horaires et en faisant une moyenne, avoir idée de la durée optimale de votre sommeil. Cela participera à votre meilleure compréhension de ce dernier!

Bonjour,

En effet, cette situation n'est pas handicapante mais elle me préoccupe l'esprit.

Après des nuits correctes, voire très correctes (j'ai dormi 10h la nuit dernière alors que je ne suis pas un gros dormeur), il me semble que je viens de faire une nuit blanche.
Je parle avec réserve car j'ai eu des phases étranges, avec de drôles de rêveries. J'ai du m'endormir, mais très peu.

Ce qui est étrange, c'est que je ne ressens aucune fatigue. Lorsque je me retourne dans mon lit, je suis comme hyperactif intellectuellement. Il me semble avoir dormi entre 1h30 environ et 3h30 environ (pas sûr), et bien j'ai envie de créer. Je suis frustré de ne pas faire de cinéma, donc j'ai envie de tourner et de voir des films, j'ai envie de lire, d'écrire. Donc cela me stimule.
Surtout, je ne comprends pas cette presque nuit blanche après de belles nuits (sans doute ai-je été trop gourmand en dormant 10h la nuit d'avant).

Petite précision, j'ai eu vent des "troubles bipolaires" mais je ne pense pas être concerné par cela. Je n'ai pas d'alternance entre hyperactivité et dépression accompagnée d'idées noires...

Bonsoir,

En attendant une réponse, je continue d'alimenter mon topic.

Est-il possible de faire de l'insomnie alors qu'il n'y a aucune anxiété ? Bon, ces derniers jours je dors plutôt "Bien".
Par exemple, la "nuit"dernière de 4h (un peu avant) à 10h30. Même si je vais essayer de limiter le lever à 9h max.
6h30 de sommeil me suffisant amplement.
Après presque deux mois de "troubles", est-ce étrange de ne pas ressentir de fatigue ?

Je ne sais pas trop comment les expliquer. Je ne suis pas angoissé, ni fatigué. J'aime me glisser sous mes draps, dans le noir pourtant. Je n'ai pas perdu foi en mon sommeil (j'ai bien dormi toute ma vie jusque-là et je me persuade que cet état changera), donc je ne me comprends pas.

Bien à vous.

Bonsoir,

Je reviens afin de donner des nouvelles.
J'avance à tâtons dans la compréhension de mon sommeil. J'ai mis de côté la piste de l'anxiété, car je ne ressens aucune anxiété vis-à-vis de ma situation (rythme cardiaque stable, aucune oppression thoracique).

En revanche, j'aimerais explorer la piste de la déprime, de l'ennui. On a souvent tendance à penser que tout va bien, mais la situation peut être tout autre intérieurement. Je ne vais pas étaler les péripéties de mon existence mais je constate que mes insomnies sont apparues au moment où j'ai connu un changement dans mes études (mi-Mars). En attendant la réorientation, donc, j'ai du ressentir une incertitude à l'égard de l'avenir, me retrouvant à glander alors que je suis passionné par ce que je fais...

Tout cela me semble néanmoins bien étrange.

Bien à vous.

L'insomnie est toujours multifactorielle, mais il reste que anxiété et dépression sont très largement impliquées dans les insomnies...
L'anxiété fonctionne comme un frein au sommeil (à l'endormissement mais aussi au cours de la nuit car les éveils nocturnes sont parfaitement physiologiques), un peu comme quand on est aux aguets et que notre sommeil en est allégé...
La dépression est elle-même très liée à l'insomnie, sans que l'on puisse toujours parfaitement déterminer laquelle est cause et laquelle est conséquence.
Il est possible également qu'un changement dans vos perspectives d'avenir vous laisse désemparé et que ce creux dans vos investissements de la journée altère votre qualité de sommeil.
Le sommeil est un rythme et alterne avec l'éveil: plus votre éveil sera riche et nourrissant, meilleure sera la qualité de votre sommeil. Structurez vos journées, favorisez l'exposition à la lumière le matin pour renforcer votre horloge biologique et optimiser l'ensemble de vos rythmes.
Parallèlement respectez vos besoins de sommeil: ni pas assez, ni trop, ce qui revient à attendre d'avoir vraiment sommeil pour se coucher, tout en gardant une heure de lever bien régulière.
Enfin rappelez vous qu'on ne parle d'insomnie que s'il existe un retentissement dans la journée... et qu'une bon sommeil va souvent de pair avec l'absence de préoccupation au sujet de son sommeil!

Bonjour,

Merci de prendre le temps de répondre, cela nous permet d'éclairer nos lanternes usagées.

Vous évoquez judicieusement la corrélation entre insomnie et retentissement négatif sur la journée suivante. Or, lorsqu'il n'y a aucun retentissement négatif, de quoi parle-t-on ? Suis-je subitement devenu un résistant au sommeil ? Cela fait tout de même deux mois et demi environ et nada, aucune fatigue, ni difficultés à assurer mes journées.

Je ne comprends pas tellement ma situation. Il y a des nuits au cours desquelles je vais dormir 3h, 5/6h ou 7h. Je ne passe pas de nuits blanches car je ne suis pas angoissé à ce point...et même si cela arrive, je suis certain que je dormirai la nuit suivante.

J'ai lu l'ouvrage "Comment retrouver le sommeil par soi-même" et j'y ai vu qu'il existait un conditionnement au mauvais sommeil, que l'insomniaque reçoit de manière négative la vue de sa chambre et de son lit. Or, je me mets au lit avec un certain plaisir tacite et même si je ne m'endors pas rapidement, je ne subis pas l'angoisse de manière physiologique (contrairement à l'engourdissement que ressentent certain(e)s, d'après mes lectures).
A vrai dire, j'ai toujours été un couche-tard (j'ai l'impression que je ne me suis pas couché avant 00h depuis le lycée) et même cette année à la fac, il m'arrivait de me coucher à 4h, mais je ne me préoccupais pas encore de mon sommeil.

Cette situation n'est donc pas handicapante mais très étrange.

Un agenda de sommeil rempli quotidiennement vous aidera à objectiver votre temps de sommeil réel, d'autant plus qu'il semble y avoir une grande variabilité de vos horaires; Si vous êtes bien dans la journée, on peut légitimement penser que vos besoins sont remplis, mais vous pouvez aussi demander à vos proches s'ils ont remarqué des changements en ce qui vous concerne...
Si vous vous savez couche tard, vous avez probablement une typologie du soir, ce qui invite à respecter cette tendance. Eviter les écrans avant le coucher si votre endormissement se fait attendre, et garder une heure bien régulière de lever afin de garantir une bonne qualité de sommeil.

Et bien, je suis conscient que je peux manquer d'objectivité par manque de sommeil, mais personne n'a relevé un quelconque changement me concernant depuis deux mois.

En effet, je devrais garder une heure de lever régulière. C'est sans doute ce qui explique mon absence de fatigue aux mêmes horaires (on ne peut pas se coucher à la même heure que la veille si on a débordé sur la matinée).

Je continue mes activités favorites (balades, cinéma où je peux passer des après-midis entières, lecture) donc je ne ressens pas cette période comme une oppression ou une angoisse. Je constate juste le dérèglement.

Garder une heure de lever régulière permet d'optimiser la qualité de son sommeil (en renforçant la bonne synchronisation de notre horloge biologique). Cependant, si le sommeil ne pose pas de problème et que vigilance et forme dans la journée restent satisfaisantes, point n'est besoin de modifier quoi que ce soit! Les habitudes de sommeil préconisées en cas de difficulté restent judicieuses si on veut améliorer les choses, mais si tout va bien...
En revanche, si vous souhaitez mieux comprendre votre rythme veille sommeil, l'agenda de sommeil, indispensable quand on veut restructurer son sommeil, vous sera quand même utile!

Bonjour à tous,

J'ai un problème assez similaire. Je n'arrive pas à m'endormir. J'ai l'impression que je n'y arriverai plus... C'est vraiment dur à force.
Pourtant, je fais du sport au point d'être complètement HS mais rien y fait. Et je tourne à 3h par nuit avec somnifère.
Avez-vous un conseil, une expérience??

Merci d'avance

La pratique du sport est d'autant plus efficace sur la qualité du sommeil qu'elle est régulière. En outre, vous avez déjà mentionné l'importance de cette activité physique sur votre humeur, et cela justifie parfaitement que vous la préserviez à tout prix.
Toutefois, il est possible que le fait de la pratiquer en fin de journée participe à vos difficultés d'endormissement, celui ci ne pouvant survenir que lorsque notre température interne a bien diminué.
Ainsi, ménagez un temps de transition le soir avant de vous coucher, afin que votre température redescende, cela va vous aider en plus à augmenter votre pression de sommeil. A quelle heure vous couchez-vous? Pensez vous pouvoir diminuer le temps que vous passez au lit de façon à augmenter cette pression de sommeil?
Il faut vraiment que vous ressentiez les signes de la somnolence (et pas seulement de la fatigue), avant d'envisager d'aller au lit. Si le sommeil ne vient quand même pas, il faut vous relever et entreprendre une activité jusqu'à ce que la somnolence revienne. En gardant une heure de lever fixe quelle que soit la façon dont s'est déroulée la nuit, vous favorisez des endormissements plus faciles au bout de plusieurs jours à ce régime.
Vous pouvez suivre vos nuits en remplissant quotidiennement un agenda de sommeil, cela vous aidera à repérer les éléments à améliorer.

Je vais au lit vers 21h pour regarder la TV. Je sais que ce n'est pas bon mais je stresse à l'idée d'aller au lit sans bruit pour dormir directement (surtout avec les acouphènes). Pourtant je gère les acouphènes mais maintenant c'est vraiment la peur de ne pas dormir qui m'angoisse 24h/24. Il faudrait que j'arrive à ne pas penser au sommeil la journée et le soir mais c'est difficile à mettre en pratique. C'est comme obsessionnel.
J'ai peur de perdre la tête à force de ne pas dormir. Je me sens vraiment vidé comme si j'étais ivre (vue bizarre, difficulté à trouver mes mots quand je parle,...).

L'anxiété est effectivement mauvaise conseillère...
Concentrez vous sur la qualité de votre sommeil et non plus sa quantité: suivez rigoureusement les conseils d'hygiène de sommeil, reculez votre heure de coucher jusqu'à ce que vous ressentiez la somnolence (à différentier de la lassitude ou la fatigue).
Sortez la télé de votre chambre (ou regardez la ailleurs!), et évitez la avant l'endormissement à cause de l'intensité lumineuse des écrans. Pour la même raison, proscrivez ordinateurs et tablettes 2 à 3 heures avant le coucher et choisissez des activités qui favorise votre détente...
Parallèlement, favorisez l'exposition à la lumière du jour le matin (et bien sûr l'activité physique qui élève votre température).
Rappelez vous qu'il est préférable, au moins dans un premier temps, de concentrer votre sommeil sur une plus petite période mais de façon à ce qu'il soit efficace...

Encore une nuit blanche. Je suis très fatigué et j'ai mal partout. Est ce normal? Je n'ai goût à rien aujourd'hui alors que c'est la fête des mères. Qu'est ce que ça peut être dur!

Lâvhe pas mon ami. Je sais très bien que c'est super difficile (je l'ai vécu et lu vit encore un peu). Plus tu te sens fatigué et à bout, plus ton corps veut dormir et dormira. Ta tête et ton corps sont deux éléments distincts. Ta tête peut être stressée, ton corps lui finira par récupérér.

Donne nous des nouvelles il faut se soutenir!

Simon

Merci de ta réponse. Cette nuit j'ai dormi 6h mais avec 1 XANAX 0.5 et un Zolpidem. Donc je n'ai pas trop tourné dans le lit. Mais j'ai encore ces douleurs un peu partout (comme si j'avais la grippe un peu). Tu crois que c'est du au manque de sommeil et à l'anxiété?
J'aimerai tellement redormir sans médoc. Car la journée, j'ai la vue bizarre et je pense que c'est les médocs qui font ça.
Tous les conseils sont les bienvenus dans ce genre de galère...