Bonjour, je suis nouvelle sur le forum.
Petit résumé de ma situation avant de poser ma question :
- 36 ans
- cancer de la thyroïde il y a 7 ans (en rémission complète, substitution par Lévothyrox stabilisée)
- début des insomnies il y a 4 ans du jour au lendemain suite à l'annonce de la possibilité d'une SEP, impossible de m'endormir, de rester endormie, grosses crises d'angoisses. Mon généraliste diagnostique de l'anxiété (...) et une dépression = antidépresseurs, je remonte petit à petit la pente, retrouve le sommeil. Arrêt du traitement en 2011 pour essais bb
- enceinte et en arrêt maladie dès le premier mois jusqu'à la fin (risque de fausse-couche ou d'accouchement prématuré), rebelote à 4 mois de grossesse : perte totale du sommeil, angoisses, je serre les dents pour bb. Après l'accouchement, rien ne change, je dors par tranches de 1 ou deux heures, je vous raconte pas mon état... Je tiens 8 mois comme ça après naissance de bb et me décide à reprendre antidépresseurs accompagnés au début de Zolpidem et anxios que j'arrête petit à petit. Thérapie en parallèle = diagnostic : je suis atteinte d'anxiété généralisée. Arrêt du traitement en août dernier pour essais bb 2
- dès septembre, à nouveau du jour au lendemain : insomnies matinales, d'endormissement, ou bien réveils fréquents, enfin, toute la panoplie... Ras le bol, je veux pas retomber là-dedans, je fonce chez le psy et demande à reprendre mon traitement.
Mais voilà, malgré antidépresseurs depuis fin septembre + anxios + Zolpidem et maintenant 1/2 Zopiclone, je ne dors toujours pas beaucoup mieux (5 à 6 heures/nuit) Pourquoi ? Je suis toujours en arrêt car trop fatiguée, est-ce le manque d'activités en journée ? Pourtant je fais de la marche, je m'occupe chez moi, mais c'est vrai que je m'ennuie pas mal...
Mais voilà, une question me turlupine, lors d'une IRM de contrôle, il était marqué en conclusion : "présence d'un pinéalome". Je m'interroge donc sur la possibilité que cette "chose" interfère dans mon sommeil puisque je sais que cette glande joue un rôle dans le sommeil. Mon neurologue a balayé la question d'un revers de main en disant, "c'est bénin, ça n'a aucune incidence". Quelqu'un pour me dire si je dois reconsulter ailleurs et quel spécialiste ?
Merci de m'avoir lue !