Bonjour,
je me permets de vous contacter pour vous faire par de notre expérience des perturbations nocturnes, qui conserne notre fils.
Bien que les choses apparaissent comme apaisées, je suis désireuse d'avoir un peu plus de clarté autour de ce qui est arrivé. Vianney est notre ainé et je ne voudrais pas recréér une situation similaire avec un éventuel second enfant.
Je vais essayer de synthétiser au mieux les événements qui ont eu lieu. Mais je souhaite dors et déjà vous remerciez pour le temps que vous nous accordez.
Vianney est né en Février 2006, bébé normal il a rapidement eu des soucis d'immaturités digestive et immunitaire. Nous avons alors commencé une longue periode de maladies infantiles classiques a ampleurs parfois deconcertantes (gastro sur plusieurs jours avec déshydration, pic de température dépassant les 40 C° etc..). Au niveau de son rythme de sommeil tout se passait très bien. IL a fait des nuits completes sans interruption a partir de l'age d'un mois et ce malgré les tracas jusqu'a l'age de 17 mois.
Dans son 17 ème mois, alors que nous commencions à mieux maitriser ses "soucis" physiques (regime alimentaire ainsi que renforcement du sytème immunitaire), notre fils c'est mis sans raison à hurler la nuit de façon répétée toutes les 50 min environ. Notre médecin de famille ainsi que le gastro entérologue pédiatre de l'époque ont tout d'abord (tout comme nous) pensé à des reflux gastriques et l'ont à nouveau mis sous traitement.
Le calme est revenu sur quelques nuits mais tout est rapidement réapparu et de façon amplifiée. Apres quelques semaines et ce malgré les traitements oesophagiens, l'hyopothèse de perturbations nocturnes (donc d'origine psychologique et non physique) est venu au premier plan.
Malheureusement ces "phases hurlantes" c'etaient amplifiés. Notre impuissance nous a angoissée et poussée à tout tenter pour le calmer. On nous a fait par du fait que nous retrouverions un jour des nuits tranquilles a condition de le laisser pleurer et de ne surtout pas intervenir. Malheureusement malgré ces conseils, les hurlement se sont rapprochés pour parfois être au rythme de 3 fois par heure et de façon incroyablement ponctuelle. Les pleurs et cris pouvaient parfois durée de quelques minutes à plus d'une demi heure. Lorsque nous allions le voir dans sa chambre, on pouvait soit le trouver simplement allongé en pleurs mais toujours les yeux fermés, soit en train de se secouer comme terriblement en colère. Les hurlements pouvaitent a l'occasion etre tres destabilisants.
Nous avons tenté de le faire dormir ailleurs (chez les grands parents) pour voir si les pertubations persistaient, sans resultat. C'est apres une année que les choses ont évoluées et de façon tout a fait spectaculaires.
Mon mari a été muté et nous avons dû deménager.
J'ai quitté mon emploi a mi temps et Vianney la garderie dans laquelle il passait 22 heures par semaine. A ce moment il a alors un peu plus de 2 ans. En moins de deux semaines les pleurs et les hurlements inconsolables ont casiment disparus, pour laisser place a de simple cauchemars tout a fait expliqué (puisque desormais il parle) et a notre porté de reconfort. nous avons passé plusieurs mois ainsi, mon fils et moi a la maison a un rythme paisible.
Désormais Vianney a 3 ans, je suis toujours restée a la maison puisque les choses avaient l'air de le rassurer. maintenant il a debuté sa scolarité et je souhaite reprendre une activité professionnelle. de plus nous envisageons un autre enfant dans un avenir plus ou moins proche, et je suis convaincue que nous avons une responsabilité dans cette histoire, soit dans la cause elle meme soit dans la consequence. et je ne veux donc pas recommettre certaines de nos erreurs.
Il va a ecole a mi temps depuis Novembre dernier. Les nuits sont en terme general assez calme si ce n'est quelques cauchemars, voir un peu de somnenbulisme (je le trouve debout dans sa chambre hors de son lit mais c'est quand meme rare). a de rares occasions des hurlements et coleres inconscientes sont réapparues mais jamais a l'échelle de l'année precedente.
La seule chose que nous avons pu mettre clairement en évidence est le fait que c'est "la journée qu'il passe" qui conditionne "la nuit a venir". par exemple si il a ete grondé ou ennuyé par un camarade il le revivrera dans son sommeil, si il se couche excité ou tres contrarié etc....
Voila je pense avoir fais le tour, pardonnez mon "esprit de synthèse" je souhaitais etre sur que vous ayez un maximum d'informations. je sais que vous ne pourrez pas forcément repondre clairement a la question
" mais pourquoi a t il fait ça ?" toutes fois j'espère que vous pourrez peut etre nous soufflez des pistes pour regler ce que nous n'avons pas du faire correctement a l'epoque.
Merci encore de ce que vous pourrez bien faire pour nous
Cordialement
La famille GENDREAU
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