Bracelet anti-cauchemar électrique ?

Bonjour,

J'ai 33 ans et depuis toujours, cela m'arrive quelques fois dans l'année d'avoir des cauchemars.
Ceux-ci sont peu actif, mais parfois très violent pour mon environnement proche, j'essaye visiblement de m'échapper, fuir paniqué, donc d'endommager sans le faire exprès les objets alentours.

Cette semaine à été la fois de trop, je suis partis faire quelques jours de randonnée en tente, et j'ai cauchemardé violemment alors que j'était zen depuis des jours.
J'ai repris conscience en étant entrain de chercher à fuir la tente, en l'écrasant et donc je l'ai gravement endommagé (arceaux cassé, toile déchiré, ... bref).

J'en ai marre, là c'est allé trop loin, je veux m'empêcher physiquement d'avoir des excès de violence panique, stop.

Ma solution, sur l'idée du collier anti-aboiement électrique :

Un bracelet qui détecte mes cris (donc cauchemars), et envoi une assez grosse décharge électrique (un peu moins qu'un TASER).

Cela existe-t-il ?

Sinon camisole de force et masque de bouche.

Bonsoir,
Je n'ai pas connaissance de tels objets, mais vous avez raison, il faut bien sur chercher des solutions.
Une consultation spécialisée me parait justifiée, car cela permettrait de préciser la nature du problème. La plupart du temps, les cauchemars n'entrainent pas de réaction violente, pour la bonne raison que l'on est paralysé ou presque pendant le stade de sommeil pendant lequel ils surviennent : le sommeil paradoxal. Donc, à creuser un peu...

Dans tous les cas, la régularité de vos horaires, le respect de vos besoins de sommeil, la suppression de toute substance psychoactive le soir (alcool ou autres excitants, hypnotiques, cannabis...) devrait vous aider à éviter la survenue de ces épisodes.
Si cela perdure malgré tout, des traitements dans les situations " à risque": la technique de répétition d'imagerie mentale peut être très intéressante ; vous pouvez avoir une description sur ce lien : https://chmpsy.com/2020/02/13/la-therapie-par-repetition-dimagerie-mentale/
Vous pourrez avoir une orientation vers un psychologue formé à cette thérapie, en consultant un spécialiste du sommeil.

Bon courage !