Et si ADARTREL n'est plus très efficace???

Je souffre du SJSR ,je suis sous traitement ADARTREL ,4,5mg par jour,et oui!!!(dose maxi 4mg/j)que je prends environ 1 à 2h avant de me coucher,mais j'ai beaucoup de mal à dormir.En plus dans la journée (dans l'après-midi surtout),j'ai des impatiences (fortes)par exemple quand je suis au volant de ma voiture (2h de conduite et c'est la galère ),je ne peux plus rester assis dans mon canapé plus de 5minutes .Marre..marre!!!
Je dois revoir mon Neurologue en septembre (je patienterai -sans jeu de mot ),mais si Adartrel ne convient plus,qu'y a-t-il aprés,Help!!!!
Une personne(une femme) m'a parler d'un traitement par "hormones" réalisé au CHU de Nantes,avéré très efficace pour elle,quelques temps après ce traitement....cancer du sein...cancer de l'utérus!!! oupss(peut-etre aucun lien ,mais un doute quand meme dans son esprit????Je suis un homme de 63ans,existe-t-il des traitements similaires pour les hommes,si oui ya-t-il des effets secondaires?????
Merci de me "tuyauter"

J'ai l'impression que les symptomes de vos impatiences sont aggravés par le traitement. ca fait depuis combien de temps que vous êtes sous Adartrel?

Il se peut tout simplement que vos impatiences ne reponds pas aux agonistes dopaminergiques et que vous en avez besoin d'un autre traitement. Sinon, chez certains, un accoutoumance aux agonistes dopaminergiques (dont l'Adartrel) voir meme un syndrome d'augmentation apparait avec des doses élévés pris depuis quelques mois voir quelques années. Ce dernier est associé a l'apparition des symptomes plus tot dans la journée, parfois non seulement aux jambes mais parfois aux bras.

Pour le syndrome d'augmentation, la solution est un arret temporaire du traitement par agoniste dopaminergiques (on passe à un autre traitement) pendant qqs semaines qui permets de reprendre le traitement à un dose tout à fait raisonable. Il est improtant de controler le ferretine car un manque de fer peut être un facteur important. D'autres traitements efficaces existent, il ne faut s'inquietez. Parlez-en à votre neurologue.