Bébé 2 mois ne veut pas s'endormir et hurle

Bonjour à tous et à toutes,

Je suis l'heureuse maman d'une petite fille née le 19 novembre.
Je l'ai allaitée le 1er mois mais désormais elle est passée au biberon.

Des la naissance les nuits étaient difficiles et la journée elle dormait dans mes bras.
Une sage femme m'a conseillée l'emmaillotage, chose que j'ai appliquée et des le 1er mois Apolline faisait ses nuits.
En revanche je ne l'ai jamais emmaillotée la journée.

Depuis les siestes se sont dégradées, auj en plus de refuser d'aller dans son lit il faut la bercer pendant minimum 3/4 d'h et en marchant car le bercement assis sur une chaise ne fonctionne plus sous peine de hurlement avec pleurs et tt le tralala!

Elle ne sait donc pas s'endormir seule, et refuse le lit et accessoirement la tétine (ce qui m'aide encore moins).

Bref je galère tous les jours pour toutes les siestes et pour la lettre au lit pour la nuit.
Une fois endormie pour la nuit, alors la ça dure minimum 6h.

Je ne sais plus quoi faire, on me dit d'un côté de la laisser pleurer, de l'autre de ne surtt pas la laisser pleurer, on me parle de la méthode 5 10 15 et après on me dit qu'elle est trop petite...
Je ne supporte pas de l'entendre hurler mais elle hurle même ds nos bras si on ne marche pas!

Et puis je culpabilise de l'emmailloter ttes les nuits, je ne sais pas si il faut que j'arrête, si je peux continuer?

Pour les siestes dois je la laisser ds sa chambre ou puis je mettre son berceau d'appoint ds le salon avec moi?

Bref je suis perdue, le bercement et l'avant endormissement devaient être des moments câlins et ils sont devenus de véritables épreuves pour moi et des moments de stress...
Peut être avez vous quelques conseils pour moi?

D'avance je vous remercie pour tous conseils que vous pourrez me donner.

À bientot

premièrement il ne faut pas culpabiliser de l'emmailloter, nous avons l'impression de les tenir prisonnier et de les empêcher de bouger mais ça les rassure. Au début quand mon fils s'énervait pour dormir mon mari le maintenait pour l'empêcher de s'agiter dans tout les sens ( sorte d'emmaillotage manuel). Peut être que cela peut l'aider la journée aussi.

Quant à savoir s'il faut le laisser pleurer ou pas, c'est une vaste question. Je pense que ça ne va pas traumatiser un bébé de le laisser pleurer un peu, il faut trouver un juste milieu entre ne pas le laisser pleurer du tout et le laisser hurler pendant des heures ou appliquer une méthode peut être un peu dur pour un si petit bébé mais que vous pouvez adapter à vos besoins, vos convictions et ses capacités.

Faites déjà le tri dans ses pleurs, entre le chouinement, les pleurs et les hurlements et à vous de voir quelle réaction vous voulez avoir en fonction des différents pleurs.

Bonne chance

Ah oui et pour le berceau dans sa chambre ou dans le salon, personnellement je pense que si ça l'aide de s'endormir près de vous cela peut être une étape, un fois rassurée et capable de s'endormir seule près de vous, elle sera également habituée à s'endormir dans son berceau et celui-ci pourra gentiment être déplacé dans la chambre.

C'est un peu comme cela que j'ai fonctionné avec mon fils et cela a bien marché.

Merci beaucoup pour votre réponse. Il est vrai que la laisser pleurer est une vaste question.
Je la côtoie tous les jours, mon conjoint est pour la laisser pleurer et moi contre...

Vous allez me dire "c'est bien parti!"

Je m'en rends bien compte mais j'arrive à gérer ses pleurs mais qt à ses hurlements, je ne tiens pas plus de 5 secondes

En fait, oui c'est bien parti parce que à vous deux vous faite une bonne moyenne.
Mon mari est pareil les pleurs ne le prennent pas aux tripes comme moi et c'est normal.
Entendre mon fils hurler je ne le peux pas non plus, il y a quelque temps il nous a piqué une grosse crise, il n'arrivait pas à dormir et hurlait sans pouvoir s'arrêter, j'en pleurais avec lui au bout d'un moment je me suis rendue compte qu'on était dans un cercle vicieux, il sentait que j'étais mal et n'arrivait donc pas à aller mieux, je l'ai laissé à son père et je suis sortie, 15mn plus tard quand je suis rentrée il était calmé.
On doit accepter aussi que notre pouvoir de maman a ses limites