il va donc falloir trouver une autre manière de faire pour parvenir à lui faire comprendre que son lit est bien le bon endroit où passer la nuit en sécurité!
Pourquoi le raccompagner n'a pas fonctionné: vous dîtes que c'était stressant et que vous aviez l'angoisse de le coucher. Dans la mesure où nos enfants sont de véritables éponges affectives si vous êtes stressée, ils le sont aussi.
Autre option possible, que j'aime moins parce que le message peut paraître moins clair, mais qui a le mérite de pouvoir marcher quand on n'a envie ni de laisser pleurer, ni de continuer à rester des mois au chevet de son enfant, avec réveils nocturnes assurés à la clé: vous commencez par rester à ses côtés sans le toucher jusqu'à ce qu'il s'endorme. Si c'est déjà ce que vous faîtes vous passez directement à l'étape d'après: vous mettez un fauteuil à l'entrée de sa chambre: il peut vous voir, mais vous n'êtes pas dans sa chambre à ses côtés. Il faut dans ces cas là être très ferme: pas le droit de ressortir du lit, vous êtes là, il peut vous apercevoir, il est en sécurité. Et quand cette étape est réussie vous décalez le fauteuil pour qu'il ne vous voit plus, mais qu'il sache que vous êtes à portée de voix si besoin.
Certaines mamans ici l'ont expérimenté avec succès, mais ça demande un peu de temps parfois.Ceci étant c'est une bonne solution alternative si vous ne vous sentez pas de laisser pleurer votre enfant sans intervenir.
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