Peur de l'insomnie engendre l'Isomnie.

Bonjour.
Mauvais dormeur depuis toujours (réveils nocturnes et endormissements très long ) je vis depuis un mois environ un crise importante d'insomnie avec en moyenne 2 à 4 heures de sommeil.
Ce n'est pas ma première crise mais c'est la plus longue,les autres se sont résorbées des ma prise en charge par un médecin (5 ans de psychothérapie ,deroxat zopiclone risperdal)
Actuellement je ne prends plus que du zopiclone ponctuellement car celui ci ne me fait pas d'effet lors de deux prises consécutives.
C'est donc avec la peur au ventre que je me couche les soirs sans somnifère. Je tente aussi les huilles essentielles mais pour l'instant sans effet
Le plus incroyable c'est qu'en ce moment tout va bien et que mes insomnies ont débutées sans raison apparente j'ai même amélioré mon hygiène de vie en reprenant le sport (le matin) en diminuant ma consommation de tabac(5cig/j).
Lorsque je me couche j'ai la désagréable sensation d'avoir les yeux grands ouverts lorsque mes paupières sont clauses...C'est comme si je me surveillai et lorsque le sommeil arrive un réflexe nerveux inconscient me sort de ma torpeur plusieurs fois de suite puis plus d'endormissement possible avant 5h du matin pour me lever à 7h30. Dur.
J'ai donc pris contact avec le réseau Morphée et ai reçu mon agenda ainsi que les coordonnées d'un médecin. Dois je attendre 3 semaines avant de le contacter ou puis je le faire maintenant ?
Il faut donc que je sorte de ce cercle vicieux ou les soirs sans somnifère la peur de l'Isomnie va générer mon insomnie et que dire de ce spasme qui survient à chaque endormissement ?
Merci pour votre attention.

N'hésitez pas à prendre contact avec le spécialiste préconisé par le Réseau Morphée, et commencez également à remplir votre agenda de sommeil de façon que vous ayez cette photographie de votre sommeil sur une période la plus longue possible. Vous pourrez en discuter ensemble, mais cela vous aidera peut être aussi en attendant votre rendez vous.
Avez-vous essayé de bien reculer votre heure de coucher? Il est important que vous attendiez de ressentir les signes de somnolence pour aller vous coucher... Le fait d'augmenter votre pression de sommeil va vous permettre de basculer plus vite de l'état de veille à celui du sommeil, vous éviterez ainsi le sursaut lié à une période de transition trop longue..

Bonjour et merci pour votre réponse.

Mon agenda commence à être bien rempli,environ 15 nuits toutes inégales.
Il est à noté que dés la réception de mon agenda mon sommeil s'est amélioré de façon incroyable mais cela n'a duré que deux nuits.Me sentant aidé mon angoisse de l'insomnie s'est estompée pour un temps.
Puis retour aux bonnes vieilles habitudes et aux pensées du genre "et si cette nuit je ne dormais pas..." parfois ces pensées se produisent en cours de journée et pas uniquement le soir ce qui me fait dire que le sommeil se prépare à n'importe quel moment de la journée et inversement .

J'ai beaucoup de mal à reculer mon heure de coucher,mon agenda me montre une heure très régulière car le soir je suis sur les rotules et n'en vois donc pas l’intérêt mais il est vrai que le sommeil ne vient pas rapidement pour autant.
De plus j'ai aussi beaucoup de mal a me lever lorsque je ne dors pas car j'ai quand même l'impression de me reposer étant allongé et pense aggraver ma fatigue du lendemain si je me lève.

Mon insomnie est clairement d'origine psy,il faut donc que j'arrive a me reprogrammer mais pour l'instant je ne vois pas comment même si j'ai ponctuellement réussi voici comment (si ça peut aider):
Je met un somnifère sur ma table de nuit me disant que quoiqu'il arrive cette nuit je dormirai (donc diminution importante de l'angoisse ) puis je fais une séance de relaxation allongé dans mon lit.
Je me concentre sur ma respiration essayant d’éliminer toute pensée parasite (que c'est dur !) puis passe en revue toutes les parties de mon corps des pieds a la tête en imaginant entrer dans un chaleur reposante.Ça a marché ,j'ai repris ponctuellement confiance en mon sommeil mais les démons sont vite revenu: "et si ça ne marchait plus..." résultat l'effet de cette relaxation est en forte diminution.

C'est à s'en taper la tête contre les murs. Mais tout viens de moi,le problème vient de moi et la solution viendra de moi ,reste à savoir comment la trouver.

Vous mettez bien en évidence le paradoxe de l'insomniaque qui dort d'autant moins qu'il cherche à dormir, ou qui se crispe d'autant plus qu'il essaie à tout prix de se détendre...
D'où l'intérêt de "forcer" le sommeil en jouant à la fois sur la pression de sommeil (reculer l'heure de coucher pour bien sentir la somnolence) et sur la rythmicité du cycle veille sommeil (garder la même heure de lever tous les jours même le week end).
Bravo pour votre relaxation, elle est certainement très utile, même si le bénéfice est un peu écorné par ls pensées négatives... Si celles reviennet de façon trop présentes, n'hésitez pas à vous relever et entrprendre autre chose, de façon à ne pas les laisser s'amplifier et générer une tension trop forte...
Enfin, rappelez vous que les améliorations viennet quand on tient les consignes comportementales dans la durée, en dépit des éventuelles rechutes ponctuelles. Focalisez vius sur toutes vos bonnes nuits, ce sont elles qu'il s'agit de multiplier!

Bonjour.

Après avoir bien rempli mon agenda du sommeil (environ 3 semaines) je suis allé voir le médecin dont les coordonnées m'avaient été données par le réseau Morphée. J'ai eu un très bon contacte avec cette personne qui a prit le temps de m'écouter et d'étudier mon agenda,la séance à au moins durée une heure.

Il m'a prescrit de la melatonine (circardin) le résultat à été surprenant ,j'ai retrouvé un sommeil normal avec endormissement rapide et même en cas de réveil nocturne je me rendormais sans difficulté. La vie était redevenue supportable !

Mais cela n'a durė "que" 10 jours. J'ai ressenti petit à petit les difficultés d'endormissement revenir,j'ai repris du Zopiclome de manière à éviter absolument une nouvelle insomnie mais ne voulant pas en prendre tous les soirs j'en suis maintenant à ma deuxième (très)mauvaise nuit de suite. Je sent l'effet du circardin qui me met dans une sorte d'état second pendant une heure puis plus rien.
S'agit il d'accoutumance même si le médecin m'a dit que ce médicament n'en provoquait pas ?
Souffrant d'Insomnie psychophysiologique est ce en fait la prise en charge par le médecin qui m'a refait dormir (comme la réception de mon agenda du sommeil m'avait fait passé 2 bonnes nuits ) ?
Je me demande si je dois le revoir ou directement prendre rendez vous chez un psy...

Le circadin vient renforcer la bonne synchronisation de notre horloge biologique, l'effet sur le sommeil vient donc de la meilleure rythmicité de notre cycle veille-sommeil: en effet, toutes les fonctions de notre organisme suivent des rythmes, nous sommes programmés pour dormir à une certaine période -la nuit- dans les 24 heures, et le circadin vient accentuer cette bonne alternance. Il ne provoque donc aucune dépendance, puisque les différents récepteurs des neurotransmetteurs impliqués dans le sommeil ne sont pas concernés, contrairement aux hypnotiques classiques.

L'endormissement nécessite que tout soit bien "en ordre" de façon à ce que notre système d'éveil puisse se fermer et laisser la place au système de sommeil. Tant que quelque chose nous maintient aux aguets, (une préoccupation, une douleur, une attente, un danger, ...voire l'appréhension de ne pas trouver le sommeil), l'endormissement a du mal à prendre place. Inversement, il est probable que le fait de vous sentir bien en charge dans le traitement de votre insomnie, par exemple quand vous avez reçu l'agenda de sommeil ou après votre consultation, majoré par l'efficacité du traitement prescrit qui a restauré votre confiance dans vos capacités à dormir, a pu engendrer une amélioration de vos difficultés. Mais cela n'est pas toujours suffisant...

Tout ce que vous entreprenez ne fonctionne pas de manière magique, c'est la cohérence et le début de maitrise retrouvée qui sont prépondérants. N'hésitez pas à recontacter le spécialiste que vous avez déjà rencontré de façon à approfondir ce que vous avez déjà commencé et ne pas simplement empiler les stratégies de façon anarchique. Il vous dirigera éventuellement vers un autre spécialiste en fonction des freins que vous pourrez repérer ensemble.

Bon courage et tenez-nous au courant!

Bonjour.

Je sors de chez mon somnologue suite à vos recommandations mais aussi à celles de mon généraliste qui s'avoue désemparé face à mon cas et qui n'a pu que me donner un arrêt de travail.

Le spécialiste m'a prescrit de la MIansėrine 30 mg car il détecte chez moi un début de dépression ce qui n'est pas faux ,de plus ce médicament aurait un effet sur l'anxiété.
Car de toute évidence mon insomnie provient d'une anxiété de performance bien connue des insomniaques et très souvent évoquée ici. Je suis au cœur de ce cercle vicieux.

Pour lui mon désire de débuter une psychothérapie (ce qui est fait ) est une très bonne idée il m'a aussi suggerė la sophrologie (déjà essayée il y a longtemps sans résultat ) car l'origine de mon problème est bien psy. L.hypnose lui semble être aussi une bonne idée ,rendez vous pris dans une clinique médicale dans 1 mois. L'empilement anarchique de stratégies ne semble pas lui poser de problème ,il me dit que ce sera long et que pour l'instant l'utilisation de zopiclone luî semble être la seule chose à faire.

J'ai évoquė avec lui la RTPL (mais pas lui) dont j'ai découvert ici le mode de fonctionnement il m'a dit ce s'était une bonne idée mais ne m'a pas proposé de reremplir un agendas du sommeil de manière à l'analyser par la suite avec lui ,cela ne lui semble pas nécessaire puisque "je sais comment cela fonctionne".

Le sol s'ouvre sous mes pieds ,ma vie social,professionnelle et familiale (le plus dur !) commencent à souffrir de mon état ,l'anxiété commence à gagner ma femme même si elle se trouve être d'un grand réconfort. Je pense qu'en effet la dépression pointe de bout de son nez et avec elle son cortège d'idées noires.

Mon espoir de guérison n'a pas totalement disparu car pour une raison que j'ignore encore j'ai passė une nuit correcte il y'a deux jours.Ma femme avait fait en sorte que je n'ai pas a me lever ce matin la pour préparer les enfants ,j'avais rendez vous le lendemain matin avec ma psy et avant de me coucher j'étais dans un état mental plutôt positif. J'ai repris ce soir là de la melatonine mais sous un autre nom que le circardin.(espoire en un "nouveau" médicament ? )
Tous ces faits ont probablement été à l'origine de cette bonne nuit.

J'ai retenté à peut près le même scénario hier soir mais sans aucun résultat.(malgré une marche rapide le matin d'environ deux heures). Le moral en prend un sacré coût lorsqu'un espoir s'évapore si rapidement.

Que faire d'autre que placer sa confiance en un nouveau médicament ,une nouvelle thérapie ?
Tant qu'il y a de l'espoir ....

Bien sûr, le fait d'avoir ici ou là de bonnes nuits est tout à fait rassurant sur votre "capacité" à bien dormir. Il s'agit alors de réunir toutes les conditions nécessaires au bon sommeil, et il n'est pas toujours facile de les repérer toutes...
C'est précisément l'idée de l'agenda de sommeil, qui permet de visualiser plusieurs des paramètres impliqués. Il est en effet important que vous compreniez (et preniez à votre compte) les différentes préconisations proposées afin de les mettre conjointement en œuvre, et ce dans la durée.

Suivez en effet les recommandations de votre médecin, n'hésitez pas à continuer malgré tout l'agenda de sommeil pour que vous puissiez suivre les éventuelles améliorations, suivez bien les règles d'hygiène du sommeil: attendre les signes de somnolence pour aller se coucher, garder une heure de lever très régulière tous les jours de la semaine, favoriser l'activité physique et l'exposition à la lumière, de préférence le matin, proscrire thé, café ou tout autre excitant, éviter les écrans le soir, ménager un sas de transition entre la journée et la nuit pour faire diminuer le niveau d'éveil le soir.
Vous veillerez également à multiplier les occasions de détente ou de relaxation, même à distance des moments où vous cherchez à dormir.
Rappelez vous aussi qu'il vaut mieux dans un premier temps rechercher la qualité de sommeil. La quantité suivra ultérieurement!

Bon courage, et tenez-nous au courant!

Bonjour.

Je suis maintenant une RTPL depuis environ 15 jours et suis suivi par un autre thérapeute qui m'a fait reprendre l'agendas du sommeil.
Mes horaires de sommeil sont minuit 07h00 ,les débuts ont été prometteurs j'avais réussi à laisser tomber le Zopiclone plusieurs nuits de suite avec une moyenne de 06h00 de sommeil.Cette technique me permettait aussi de désacraliser l'heure du coucher qui devait se faire le plutôt possible si j'avais mal dormi la veille. Je n'avait plus de pression le soir.
Je suis parti en vacances une semaine et bien que le changement de lieu ait provoqué une très mauvaise nuit le reste de la semaine à été plutôt correcte mais depuis que je suis rentré ,catastrophe, tout est redevenue comme avant et ma peur panique de la nuit blanche m'a fait reprendre un somnifère deux nuits de suite et ce soir malgré un état de fatigue extrême je n'arrive toujours pas a trouver le sommeil. Je suis fatigué mais absolument pas somnolent en fait le sommeil semble venir beaucoup trop tôt ,vers 2100 puis plus rien.
Pour dire vrai je ne fait quasiment jamais de nuit blanche et dans le pire des cas dors environ 4 ou 5 heures mais c'est la peur de la nuit blanche ainsi que la peur de la fatigue qui fait que je fixe mon attention sur mon endormissement qui évidement ne vient pas.
Le retour chez moi ,lieu de mon insomnie depuis 5 mois ,serait il la raison de ma rechute ?Ou ai je perdu confiance en une méthode qui aurait tendance à fonctionner mais qui pour moi s'est banalisé ?Ou les deux ?

Vos deux hypothèses sont pertinentes, d'une part il est vrai qu'un certain conditionnement, l'habitude de ne pas dormir quand on est au lit fait souvent perdurer l'insomnie: c'est une des raisons qui expliquent qu'il faut sortir du lit quand on ne dort pas, afin de garder une association très étroite entre le fait d'être au lit et celui de dormir (association bien souvent inverse chez l'insomniaque qui associe son lit avec ses insomnies!). D'autre part, vous montrez bien que la confiance joue beaucoup pour ne pas subir l'anxiété de performance (plus je veux cherche à dormir, plus je veux absolument réussir mon endormissement, moins je suis dans l'état de détente nécessaire à cet endormissement. Si la confiance est fragilisée, l'hyperéveil généré par la peur de ne pas réussir reprend le dessus.
Néanmoins vous devez vous rappeler que la modification de vos horaires a été efficace (du moins un temps), et que vous pouvez vous appuyer sur cette expérience réussie pour la remettre en œuvre et retrouver les mêmes résultats. Peut-être avez-vous relâché un peu les consignes? Ou les avez-vous appliquées moins rigoureusement? La fenêtre du temps passé au lit ne doit pas être trop longue mais au contraire s'ajuster (et au début être même en deçà) au temps de sommeil réel.
Continuez bien votre agenda de sommeil, il vous aidera à faire la part des choses et à tenir les consignes dans la durée, gage de la bonne amélioration!

Bonjour et merci pour votre réponse.
Je pense avoir bien suivi les consignes et si dérogation il y a eu il ne s'agissait pas plus d'un quart d'heure.
Je comprends très bien le mécanisme de l'anxiété de performance (de plus dans mon cas je rajoute la peur panique de la nuit blanche et de la fatigue ) ce que je comprends moins c'est la quasi absence de somnolence.

Je ressent une fatigue extrême avec divers symptômes bien connus mais presque jamais la somnolence ,pas de bâillement ni l'envie de s'étirer. Lorsque cela se produit (rarement) cela ne dure que quelque secondes. La seule somnolence forte que je connaisse c'est celle qui est apparue au début de ma RTPL lors du réveil après une nuit correcte,j'aurai pu me rendormir en moins de 10 secondes et une fois levé je devais luter durant une demie heure pour ne pas me rendormir même assis sur un canapé.
Pourquoi cette sensation ne se produit elle pas le soir ?C'est le monde à l'envers on dirait...
Alors que chez moi femme et enfants baillent à s'en déboiter la mâchoire le soir moi non j'ai juste les yeux qui piquent en attendant Morphée les bras ouverts.

Peut être le calcul de votre efficience de sommeil (temps effectif de sommeil divisé par le temps que vous passez au lit) vous aidera-t-il à repérer ce qui va favoriser la somnolence?
Voyez également avec le médecin qui vous suit dans cette restructuration de votre sommeil dans quelle mesure de courtes (5 ou 10 minutes) siestes ne vous permettraient pas de juguler la trop grande fatigue tout en gardant intacte la pression de sommeil pour la nuit?

Bonjour ,je reviens sur ce forum pour vous faire part de mon experience.
Je vais actuellement beaucoup mieux avec un sommeil correct depuis au moins deux mois.
Je suis toujours suivi par une specialiste et toujours aidé par des médicaments (1 deroxat+1 demi zopiclone par jour).
Mais la raison de mon retour sur ce forum concerne une découverte que j'ai fait par hasard et qui m'aide beaucoup.

Je ne fait la promotion d'aucun produit et personnelement je n'ai rien acheté car on peut trouver ce dont on a besoin gratuitement sur internet notament sur youtube.

Je cherchai une musique relaxante à écouter le soir et je suis tombé par hasard sur une technique musicale qui s'appelle Hemi Sync ou son Binaural (je vous laisse chercher les détails sur internet en particulier wikipedia).

Beaucoup de morceaux sont disponibles sur youtube et dés la première écoute je me suis senti très somnolent et donc bien disposé à passer une bonne nuit. J'étais surpris et depuis j'ai découvert des morceaux spécialement conçus pour les porblèmes de sommeil.Depuis j'écoute cette musique tout les soirs.

Il faut savoir que ce procédé a fait l'objet d'études qui ont conclues à des résultats opposés mais en ce qui me concerne cela m'aide beaucoup et fait donc partie de mon rituel du coucher.

Si cela vous tente sachez qu'il faut impérativement écouter cette musique avec un casque ou des écouteurs et qu'il n'y a pas lieu de se concentrer ou de faire des exercices de respirations ou autre, il s'agit juste d'une écoute comme tout autre musique.

Voila... si cela peut aider.

La relaxation est en effet excellente pour favoriser l'endormissement et un sommeil de bonne qualité. Après, chacun a la technique qui lui convient le mieux...

je suis curieuse de savoir si votre insomnie s'est finalement résorbée avec cette technique de relaxation. Je me sens très proche dans les symptômes que vous décrivez et de la cause de votre insomnie.
Je suis vraiment très étonnée de votre découverte : de la musique qui calme vos troubles? Votre insomnie s'est-elle complètement estompée? Vous sentez vous mieux à long terme?
Pour moi, c'est de pire en pire : l'anxiété augmentant l'insomnie qui augmente l'anxiété....j'ai l'impression de m'enfoncer....
bonsoir et merci pour votre réponse