Sevrage Laroxyl / Insomnie psychophysiologique

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Il peut y avoir aussi des rebonds d'insomnie lors de la diminution des antidépresseurs sédatifs...parfois, mais, pas de panique.
Néanmoins, cette prescription est vraiment justifiée dans de nombreuses indications, car elle permet d'aider à retrouver un sommeil dont l'architecture est satisfaisante.
Peut-être faudra-t-il envisager la décroissance plus doucement ?
Attention aussi pendant cette période à votre hygiène du sommeil ; après une TCC, vous ètes sans doute au point, mais il arrive que dès l'amélioration obtenue, on oublie certaines des règles d'or ?
Petit rappel :
-Lit =sommeil et vice versa, pas de repas, ni de lecture, ni de TV au lit...repérez les signes du sommeil pour vous mettre au lit.
-ne passez pas trop de temps au lit ! levez-vous à heure régulière, et dès le réveil si il survient plus tôt ; pas de sieste dans la journée, pour concentrer le sommeil dans le temps passé au lit.
Et ne focalisez pas sur ces trois nuits ; on ne décrypte pas toujours pourquoi.
Gardez confiance, soyez patiente et bon courage !

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LA forme goutte vous permettra un sevrage plus progressif. Il n'y a pas de raison que cela soit moins efficace qu'en comprimé, mais comme dans tout traitement hypnotique, il existe une relative accoutumance qui entraine, à dose égale, une efficacité moindre progressivement...ce qui doit vous motiver pour continuer votre sevrage.
Bon courage !

[quote:f229="moustik54"]Bonjour;
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Bonjour,
Je prends également du Laroxyl. Quand j'ai diminué d'une seule goutte j'ai commencé à avoir de grosse crise d'insomnie... Ma neurologue m'as dit que c'était normal car le laroxyl fait dormir et quand on le diminue forcément on arrive plus à dormir autant... Mais elle m'a précisé que c'était temporaire. A chaque fois que je diminue d'une goutte je sais que les 4-5 nuits qui suivent je ne vais pas dormir.. Puis le sommeil revient petit à petit..

Le fait d'être très progressif garantit bien souvent la réussite d'un sevrage.
Vous avez bien raison d'attendre que votre sommeil se stabilise avant de poursuivre la diminution, cela permet à la fois que vos récepteurs se réhabituent mais également que la confiance dans votre sommeil se restaure. Pour bien dormir, il fait être sûr qu'on a fait tout ce qu'il fallait pour: ainsi, en diminuant le traitement, vous êtes dans une situation un peu nouvelle, et cela peut suffire à maintenir un "qui vive", comme si vous étiez aux aguets de ce qu'il allait se passer. A chaque diminution réussie, vous gagnez alors en confiance.
Bonne continuation et merci de votre témoignage!