Il est vrai que le fait de "devoir" dormir est totalement contradictoire avec l'abandon requis pour s'endormir ou se ré-endormir. Plus il est crucial (pour votre efficacité dans la préparation du concours) de passer une bonne nuit, plus la tension générée entrave l'endormissement. Dès que cette anxiété de performance est moindre, comme lorsque vous étiez en vacances sans nécessité d'être opérationnel le lendemain, alors vous semblez pouvoir retrouver un sommeil normal.
C'est effectivement un cercle vicieux, mais que vous jugulez déjà un peu en gardant des horaires réguliers faire passer au second plan l'idée de quantité;
En favorisant une hygiène de sommeil très rigoureuse (lever à heure fixe tous les jours même le we, activité physique quotidienne et exposition à la lumière le matin, éviction des écrans 2 ou 3 heures avant le coucher, temps de décompression entre le travail et le coucher, suppression du café ou autres excitants ), vous préservez la bonne succession des différents stades de sommeil et donc l'efficacité de celui ci.
Rappelez vous également que le manque de sommeil joue d'abord dans un premier temps sur la motivation plus que sur les performances.
Enfin, soignez le bon équilibre de vos journées, en vous ménageant des temps de pause pour que la tension générée par votre travail académique ne croisse pas de façon exponentielle....
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