Vacances en Juillet, pas de contraintes au levé (école des enfants), + siestes
=> ça s'améliore, mais c'est pas encore fini.
Traitement PROLONGE au decontractyl pour cause de douleurs musculaires aux
jambes associées à somnolence => douleurs éradiquées, et moins somnolent.
Arrêt progressif du millepertuis en vue de passer sous paroxétine
Les nuits : il y a des réveils, mais sans tonicité des neurones...
Couché trop tard => 1 réveil
Couché tôt => réveils multiples
Plus de sensations d'anxiété.
Peut-on attendre une amélioration grace à la paroxétine ?
Reprise du modiodal => différence flagrante...
Recherche des doses min et max: 5/8, c'est trop
4/8 c'est bon, peut-être un poil speed,
à peine perceptible
3/8 + café, semble OK
2/8 pas assez dormi, vif et OK?
la sensation de manque de sommeil domine
? Impression de normalité (fatigué) quand pas assez dormi...
Il en manque pour la fin de l'après-midi => en reprendre à 14H ?
+ 2/8 à 14H, le manque de sommeil domine toujours
à refaire demain après une nuit correcte.
2/8 peut-être un poil juste, en début de matinée
mais c'est mieux que un poil de trop
Impeccable dès le milieu de la matinée
Bilan : 3/8, c'est idéal mais difficile à manier
=> première prise de 1/4 au levé, + 1/4 à 10 H
seconde prise : 1/4 à 12H, et éventuellement 1/4 à 14H.
Ca fait un comprimé par jour.
Mi-Août : la somnolence de 18-20H devient plus importante que la somnolence
de 12-14H.
Effet très bénéfique de la sieste, meme au boulot...
Somnolence accompagnée d'hyper-salivation et de douleurs musculaires
(surtout l'avant des cuisses, toute la jambe et les bras récemment)
Effet bénéfique du CYCLAMAX et du HOUBLON sur le sommeil.
Il faudra voir si une augmentation de dose diminue les somnolences.
Fin Août: CYCLAMAX ET HOUBLON à 200%, c'est trop (je n'émerge pas de la matinée),
à 150%, ça a l'air bien.
Les petits compléments : fer et ginkgo le matin,
aubépine et ballote le soir.
Suppression du sucre blanc, du miel, de la confiture et autre dessert
=> !!!!!! LA SOMNOLENCE A VRAIMENT L'AIR DE DISPARAITRE !!!!!!
=> diminution modiodal qui semble devenir inutile, je vais tout de même
garder au moins 1/4 le matin pendant un bout de temps
Début de prise de la paroxétine, comme prévu, et avec un peu de
privation de sommeil volontaire, ça met paradoxalement la somnolence
en veilleuse...
Nuit plus longue => retour de la somnolence => reprise du modiodal
Mi-Septembre : retour de la contrainte horaire pour l'école de enfants.
modiodal : 1/4 à 1/2, voir 3/4 à 1
paroxétine : 1/2
luminothérapie
compléments : cyclamax et houblon, fer et ginkgo, aubépine
décontractyl quand douleurs musculaires (cuisses) ou stress
Plus d'hyper-salivation
Sieste tous les midi ou presque (infirmerie=>interrogations du
médecin, prise en charge sociale ? Compréhension familiale...)
Ca va, sauf quand ca ne va pas...
J'ai des attaques de fatigue/somnolence et de stress
(Pas gérable par modiodal en fin de journée :
constante de temps du modiodal trop longue)
Impossible de finir une après-midi sans sieste
(=> contraintes professionnelles)
Capacités intellectuelles OK
Nuits : fins hachées, réveil très matinal, beaucoup de rêves.
rythme : si nuit trop courte alors fatigue continuelle,
si nuit de longueur correcte alors attaques de
somnolence...
Fin Septembre : douleurs musculaires remplacées par sensations musculaires
Aux mêmes horaires que d'habitude, sensations bizzares :
hypo-vigilance ou hyper-vigilance ? difficile à qualifier.
Etat intellectuel OK voir plus, moteur OK voir plus,
sensitif : rapport à l'extérieur encore vaporeur,
"les yeux mi-clos" ?
Il y a un lien entre hyper et hypo,
l'hyper est une réponse contre l'hypo (?)
Une nuit très courte
=> il y aurait bien un effet de la privation de sommeil...
La sieste résoud l'hyper-vigilance aussi
Constats d'horaire => mini siestes à 10H, 12H, 14H, 18H et 20H.
=> Etat impeccable entre 2 siestes
=> Va falloir un moyen de communication fort pour faire
admettre ça au travail et à la maison (+pb acceptation de la
médicamentation)
=> COTOREP? SECU?
modiodal : 1/2 à 3/4
paroxetine : 20 mg préconisé par psychiatre
? et la tyrosine ?
Composante familiale :
- mon père est à 14 sur le test d'Epworth,
- mon oncle Rémy est à 16.
Ils estiment avoir été à 20/22 dans le passé.
Et mon fils ?
Nuits OK mais insomnies du matin (?)
Fin Octobre : mini siestes : 11H et 14H seulement
=> ça va mieux, de plus en plus de temps "normal"
(sauf quand ça va pas)
mais somnolences systématiques à 18h-20H
modiodal : 1/4 à 1/2, parfois 3/4
luminothérapie : 10H-12H, et parfois jusqu'à 14H,
jusqu'à 15H c'est trop
plus d'hyper-vigilance
La piscine et le SPA font également le plus grand bien.
Je vais être mal noté, la question de la cotorep est d'actualité.
Mi novembre : une sieste toutes les 2 heures => c'est ce qu'il faut
=> dossier cotorep en cours.
Somnolences accompagnées de douleurs musculaires aux cuisses
et de contractions des muscles de la machoire.
Modiodal en augmentation (4/4 à 6/4), sans effets secondaires.
Quand les douleurs musculaires disparaissent, les jambes sont
faibles, les genoux plient tout seuls.
Cyclamax + decontractyl le soir
=> c'est mieux, et ça va mieux pour les jambes
Tentative d'utilisation des douleurs comme signal d'alerte
pour la sieste
Début 2007 : Bilan :
Anxiété : vieille histoire
hallucinations, peau de carton : vieille histoire
paralysie : jamais, ou alors vers 6-8 ans
cataplexies : sans doute une à 16 ans.
somnolences : dans les périodes 10h-15h et 18h-21h
=> "siestes" très réparatrices (9h30, 11h30, 12h30, 21h,
il en faudrait une à 19h)
Endormissements avec réveils "impossibles" :
pas depuis quelques temps, mais retour facile (?)
nuits "continues" si courtes,
effets inverses de la durée de la nuit :
nuit courte => journée moins somnolente (avec fatigue)
nuit longue => journée somnolente
possibilité de privation à répétition dangeureuse
Les jambes : genoux "libres" associés aux somnolences
=> démarche de pantin.
Il y a des moments de crispations et/ou douleurs musculaires
dans les jambes et machoire surtout
Ralentissement mental : ça date un peu,
ça arrive peut-être encore
=> Narcolepsie ou hypersomnie suite à privation de sommeil ?
Traitement :
- paroxétine : 20 mg/jour
- modiodal : 5/jour (4+2 : ça chauffe les oreilles)
(3+2 : ça chauffe peut-être encore un peu)
- cyclamax : 3/jour, mais j'arrête
Les "siestes" sont en fait plus des périodes de repos
que du sommeil (mais dont la durée peut me surprendre)
qui débutent souvent par quelques minutes très agitées
(mouvements incontrôlés mais maîtrisables consciemment,
qui peuvent se retrouver sous forme de problèmes de
coordination si siestes supprimées)
J'ai déjà senti le besoin impératif de bouger les jambes,
et le gros orteil qui se redresse (pendant la nuit)
Réveils en pleine nuit par mouvements d'épaule
Crispations importantes de la machoire
Jambes : plus des crispations statiques que des mouvements
Il y a quelques temps, c'était réveil en pleine forme à 7h
et catastrophe à 10h.
Actuellement ce serait plutôt éveil parasite à 3h
et réveil impossible à 7h.
Effets secondaires anti-dépresseurs?
Risque seconde pathologie ? (parkinson?, épilepsie?)
Sommeil haché à cause d'une narcolepsie ou anxiété ou privation
de sommeil ?
Pas de crises de cataplexies induscutables ou d'endormissement
en SP enregistrés pour dire "narcolepsie".
L'anxiété ou la privation de sommeil n'explique pas
les hallucinations et la peau de carton.
L'hypersomnie idiopathique n'explique pas le sommeil haché.
Et les signes de JSR ?
Possibilité : pathologies multiples.
Base : un peu de JSR et un peu de narcolepsie ou d'hypersomnie.
Survient une crise anxieuse => amplification des symptômes
narcolepsie/hypersomnie par privation de sommeil
Constat d'efficacité partielle des benzo, du millepertuis,
de la luminothérapie et du décontractyl
Traitement par modiodal => amplification anxiété,
diminution hypersomnie
Traitement par paroxétine => amplification JSR,
supression anxiété
Diminution JSR par arrêt cyclamax et prise de fer.
La tendance est à l'amélioration des nuits.
Je n'ai pas encore eu d'analyse génétique pour le typage HLA de la narcolepsie,
la question de la narcolepsie se pose sans pouvoir y répondre.
L'essentiel :
1) Anxiété : vieille histoire (?)
2) hallucinations, peau de carton : forte diminution
(fantômes, impression de voler, de m'enfoncer, de lessiveuse)
3) paralysie : jamais, ou alors vers 6-8 ans
4) cataplexies : sans doute une à 16 ans
récemment : affaiblissements et ralentissements sur émotions négatives
5) somnolences : dans les périodes 10h-15h et 18h-21h
=> "pauses" très réparatrices, y compris pour les jambes
2+ par jour avec 3 + 1 modiodal
Seulement 3 heures d'éveil vrai par jour (15h-18h),
insuffisant pour assurer le boulot.
6) divers : dyskinésie, mvt occulaires rapides, rêves+++
problèmes de jambes clairement associés aux périodes se somnolence
pannes d'oreillers (ivresse du sommeil ?)
7) Sommeil ne semble plus être haché (prudence...)
Callage : y'a qu'à !!!
Une tentative d'allongement du sommeil en Octobre/Novembre
=> échec (augmentation hachage)
=> à retenter.
Et le gluten ? SEP ?
Situation professionnel : mon chef est au courant qu'il y a un gros pépin,
je suis dispensé de réunions clients et de rédactions documentaires
en attendant que ça aille mieux.
J'ai l'accès exclusif à l'infirmerie pour dormir.
Mon rôle principal : prendre des décisions techniques et financières, par oral.
Journée : 9H30 - 17H30, sport compris... temps de travail effectif : 3-4 heures...
FIN "JOURNAL"
Aujourd'hui : temps de travail (presque) = temps de présence, en hausse significative.
Aujourd'hui, j'ai peut-être trouvé la bonne spécialiste pour mon cas :
une neuro-psychiatre spécialiste du sommeil.
Je suis avec 30 mg/j de paroxétine et 3 comprimés de modiodal (après une période à 4-5).
Je consulte d'autres spécialistes pour d'autres hypothèses (gastro-entéro pour le gluten,
stomato, endocrino...)