Bonjour,
Dans un contexte de santé complexe ( fibrose - guerie-, cancer[u]s[/u] du sein , problème chroniques ORL, arthrose , avec des souci de sommeil depuis l'enfance jamais bien pris au sérieux par les médecins qui avaient toujours un bon pretexte pour le justifier ...
précisions :Je n'ai Jamais pris de somnifères sauf lors de mes hospitalisations pour chirurgie
En 2004 , je decouvrele SJSR mais bien sur mon medecin traitant n'y crois pas
En 2006 il me donne un medoc "en test"
mi 2006 , 3 tumeurs cancéreuses de type differents, mastectomie , 3 protocoles de chimio,rayon, anti hormonaux et mes toubibs me prennent un peu plus au serieux : je suis adressée à une neurologue qui me prescrit du SIFROL
Le bonheur au debut
les mois passant , je dois prendre mon medoc a l'heure pile sionon je suis bonne pour arpenter des heures la maison , et là c'est de pire en pire ...
2009 je vois un somnologue qui ajoute du rivotryl
Parallement je prends entre juillet 2007 (date de la prise de sifrol mais aussi de la fin de la chimio) et mi 2011 plus de 15 kg malgré un suivi dietetique
je fini par aller voir un psychiatre , vu que mes toubibs partent du principe que on ne sort pas obese de Bukinval et que c'est peut etre l'effet aussi dess anti recivants du cancer que je doisprendre encore quelques temps
: 6 mois apres le psychiatre me dit vous n'etes pas boulimique, pas depressive , pas ci pas ca ..
il prends le vidal et ...
dansles effets secondaires du sifrol il y a
je cite " symptômes comportementaux des troubles du contrôle des impulsions et des actes impulsifs comme l'augmentation de la prise de nourriture, les achats compulsifs, l'hypersexualité et le jeu pathologique "
j'avais des frigngales que je gerais tant bien que mal
pas joueuse pour 2 sous (meme jouer aux petits chevaux avec mes enfants petits me barbait et je faisais vraiment des efforts les jours de fetes pour faire des monopoly en famille) je'etais mise a jouer ax cartes avec mon téléphone , meme a acheter des jeux et pour la sexualité c'est mon mari qui etait content
J'ai arrette non sans en patir le SIFROL (et dans la foulée le ryvotyl)
mais mon syndrome des jambes sans repos une fois sevrée est bien moindre que quand j'oubliais de prendre mon medoc a l'heure
(et j'ai depuis un autre souci diagnostiqué après un enregistrement du sommeil)
sans rien faire, j'ai perdu 8 kg en 4 mois
mon telephone n'a plus de programmes de jeux
peut etre mon Zom n'as plus a se réjouir autant ?? lol !
J'ai rencontré une famille dont le mari a eu du sifrol
monsieur bricoleur adorant la vie de famille et sa maison
devenu joueur de poker et fréquentant les prostitués ...
ce qui a cessé avec l'arret du Sifrol
Sur internet, j'avais trouves des liens de revue medical de 2005 disant que le taux de ce genre de complication ( Plus de 10 %) faisait de ce medoc un medoc a ne pas donner dans le SDJSR ( ces deux liens ne sont plus actifs malheureusement)
je refusais jusque la de lire les notices des medocs que je devais imperativement prendre ...
voici juste mon témoignage
ILB